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BEYROUTH (Reuters) - Le Hezbollah s'oriente vers un revers lors des élections législatives de dimanche au Liban, selon les résultats préliminaires, avec des pertes pour certains alliés du mouvement chiite aligné sur l'Iran tandis que le parti Forces Libanaises (FL), soutenu par l'Arabie saoudite, a revendiqué des gains.
Alors que les résultats de l'élection de dimanche doivent encore être finalisés, des sources haut placées ont déclaré qu'il était improbable que le Hezbollah et ses alliés obtiennent plus de 64 des 128 sièges du Parlement, citant les résultats préliminaires.
Les sources se sont exprimées sous couvert d'anonymat car elles n'étaient pas autorisées à parler au nom du Hezbollah et de ses alliés.
Un porte-parole des FL a déclaré que le Hezbollah et ses alliés avaient perdu leur majorité parlementaire, mais qu'aucun groupement ne semblait désormais avoir la majorité.
Il s'agit du premier scrutin organisé depuis que le pays a plongé, à la suite de l'explosion dans le port de la capitale Beyrouth en août 2020, dans une profonde crise économique que la Banque mondiale a imputée à l'élite politique.
Lors des précédentes élections législatives, en 2018, le Hezbollah et ses alliés avaient remporté 71 sièges sur les 128 que compte le Parlement.
Fervent rival du mouvement chiite, le parti Forces libanaises pourrait devenir la principale formation chrétienne du Parlement, alors qu'il revendique le gain d'au moins 20 sièges, contre 15 en 2018, selon une annonce de sa porte-parole.
D'après les premiers résultats, se sont également imposés au moins cinq candidats indépendants qui ont fait campagne en promettant des réformes et de juger les politiciens considérés responsables de la pire crise du Liban depuis la guerre civile de 1975-1990.
Le résultat laisse le parlement fracturé en plusieurs camps et plus fortement polarisé entre les alliés et les opposants du Hezbollah, qui ne sont pas actuellement unis en un seul bloc.
Selon les analystes, cette situation pourrait conduire à une impasse politique et à des conflits, les factions profondément divisées s'efforçant de trouver des accords de partage du pouvoir pour les postes les plus importants de l'État, ce qui risquerait de retarder davantage les réformes nécessaires pour résoudre la crise économique et débloquer l'aide des donateurs.
(Reportage Timour Azhari, Laila Bassam, Maya Gebeily et Lina Najem; version française Jean Terzian et Augustin Turpin, édité par Kate Entringer)
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