- Services des gestionnaires d'approvisionnements (GB, 09:30 GMT)
- Espagne : émission d'obligations à 10 ans (Esp, 09:50 GMT)
- Ventes au détail (Mensuel) (UE, 10:00 GMT)
- Taux d’emplois non agricoles ADP (États-Unis, 13:15 GMT)
- Productivité non-agricole (Trimestriel) (États-Unis, 13:30 GMT)
- Indice de non-fabrication ISM (États-Unis, 15:00 GMT)
- Énoncé des taux RBNZ + Relevé taux d'intérêt (NZ, 20:00 GMT)
Le président Barack Obama a esquissé un deal potentiel en fin d'année sur les hausses d'impôts et des réductions de dépenses pour éviter la soi-disant falaise fiscal, tout en insistant que les républicains doivent accepter des taux d'imposition plus élevés pour les contribuables à revenu élevé comme condition à des négociations.
L'affrontement entre la France et l'Allemagne sur la supervision bancaire dans la zone euro a empêché le groupe Euro de parvenir à un accord sur l'union bancaire de l'UE, mardi. Les ministres européens des Finances ont décidé de tenir une réunion supplémentaire le 12 Décembre, juste avant le sommet de l'UE le 13 Décembre, date à laquelle un accord sur l'union bancaire doit être fait. La France et l'Allemagne sont divisées sur l'étendue des pouvoirs de la BCE comme le superviseur bancaire de la zone euro. La France pousse pour une solution dans laquelle la banque centrale pourrait réglementer toutes les institutions financières de la région, tandis que l'Allemagne voudrait que petites banques soient exclues de cette surveillance. Berlin n’a également pas trop envie de voir un syndicat bancaire complète formé aussi rapidement, car elle craint qu'il sera obligé de payer pour les pertes bancaires à venir dans d'autres États membres.
Les Ministres européens des Finances s'est dit confiant que la Grèce va réussir un rachat obligataire, l'élément clé dans un effort renouvelé pour endiguer la crise de la dette dans le pays où il a commencé. La Grèce a commencé les 10 billions d'euros (13 billions de dollars) de rachat des obligations arrivant à échéance de 2023 à 2042, hier, en offrant un prix plus élevé que prévu afin d'augmenter la demande pour la mesure de réduction de la dette.
EUR/USD:
L’EUR / USD s’échangeait supérieur à 1,31146 (une hausse de 8 mois) au moment de la rédaction après que les ministres européens des Finances ont dit qu’ils sont confiant que la Grèce va réussir un rachat d'obligations et après que le président Barack Obama a esquissé un deal potentiel en fin d’année des hausses d'impôts et des réductions de dépenses pour éviter la soi-disant falaise fiscal. Toutefois, les gains ne sont pas significatives, les investisseurs se montre prudent comme le président Barack Obama a insisté qu'il n'y aurait pas d'accord à moins que les républicains acceptent de relever les taux d'imposition sur les hauts salariés américains. L'incertitude quant à la crainte que les deux partis politiques peut être incapable de conclure un accord ou vont attendre les échéances ont continué à pousser les investisseurs à prendre des position sur le dollar comme sécurité .En outre, un affrontement entre la France et l'Allemagne sur la supervision bancaire dans la zone euro a empêché le groupe Euro de parvenir à un accord sur l'union bancaire de l'UE, a conduit à des sentiments prudents sur le marché. Les événements économiques susceptibles d'apporter une certaine volatilité sur le marché européen en session à venir sont l'indice des services PMI dans la zone euro, l'Italie, la France et l'Allemagne, qui devrait rester inchangé à 45,7, 46,0, 46,1 et 48,0 respectivement. L’Espagne publiera également ses données sur les services de PMI et le chiffre devrait diminuer à 41,0 contre 41,2. En outre, l'Espagne publiera sa production industrielle (annuel) (prévision: -7,4% - précédent: - 7,0%) et des ventes obligations de 10 ans. La zone euro va publier ses données sur les ventes au détail (prévision: -0,1% - précédent: -0,2%). Plus tard dans la journée, les États-Unis publieront ses événements principaux, le changement de l'emploi non agricole ADP, qui devrait venir à 125K par rapport à 158K. Les États-Unis publieront également les données de la productivité non-agricoles (trimestriel) et L’indice non manufacturier ISM (prévision: 53,5 - précédent: 54,2). Les investisseurs doivent être très prudent et d'adopter une stratégie attentiste. Quelques corrections du marché et des prises de bénéfices sont également attendus aujourd'hui. Le niveau de résistance est à 1,31691 et le niveau de soutien est à 1,30424.
NZD/USD:
La paire NZD/USD se négociait plus élevé à 0,82484 au moment de la rédaction comme la demande pour des actifs liés aux risques ont augmenté après que les ministres des finances européens ont exprimé la confiance que la Grèce va réussir un rachat d'obligations et après que le président Barack Obama a esquissé un deal potentiel en fin d'année des hausses d'impôts et des réductions de dépenses pour éviter la soi-disant falaise fiscal. Là encore, les gains ne sont pas significatives comme les investisseur sont en attente pour certains événements importants, tant aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande afin de mieux évaluer la tendance de la paire. Aujourd'hui, les États-Unis publieront ses événements à risques, le changement ADP de l’emploi non agricole, qui devrait venir à 125 K par rapport à 158 K. Les États-Unis publiera également les données de la productivité non-agricoles (trimestriel) et l’indice non manufacturier ISM (prévision: 53,5 - précédent: 54,2). D'autre part, la Nouvelle-Zélande publiera ses événements principaux à risques, la décision du taux d'intérêt, qui devrait rester inchangé à 2,50% et la déclaration du taux de la RBNZ ainsi que Énoncé de la politique monétaire RBNZ, une déclaration pacifiste devrait être prises comme baissier pour le NZD, tandis qu'une déclaration belliciste pourrait être considéré comme haussier pour le USD. Les investisseurs doivent garder un œil sur les derniers développements et les données de la zone euro car ils auront une incidence sur les sentiments pour les actifs risqués. Le niveau de résistance est 0,83082 et le niveau de soutien est 0,81966.
Pétrole (WTI):
Le pétrole se cotait plus élevé à 88.800 au moment de la rédaction après que les données de l'industrie ont révélé que les stocks américains ont chuté de façon inattendue la semaine dernière. Les sentiments du marché restent positifs sur les tensions actuelles au Moyen-Orient et après que le président Barack Obama a esquissé un deal potentiel en fin d'année sur les hausses d'impôts et des réductions de dépenses pour éviter la soi-disant falaise fiscal. Les ministres européens des Finances s'est dit confiant que la Grèce va réussir un rachat d'obligations, stimuler les sentiments du marché. Les investisseurs doivent surveiller de près toutes les données dans la zone euro et aux États-Unis aujourd'hui pour mieux évaluer la tendance de la marchandise. Les nouvelles des États-Unis concernant la falaise fiscale, de la zone euro et du Moyen-Orient apporteront la volatilité du prix du pétrole. Le niveau de résistance est à 90.281 et le niveau de soutien est à 87,518.
