Le gonflement inattendu des stocks de pétrole américains la semaine dernière (+1,7 millions de barils de brut, +0,5 million de barils d’essence selon l’AIE) après une première déconvenue la semaine précédente érafle à peine les gains du CAC40 ou de l’Euro Stoxx 50 (qui reperde 0,2% sur les « plus hauts » depuis le « Brexit ».
La chute pétrole : toujours parce qu’il y a trop d’offre, jamais trop peu de demande !
Les opérateurs s’abstiennent naturellement se s’interroger sur les causes d’une correction du pétrole vers 42,2$ sur le NYMEX. La première explication, c’est qu’il y a de nouveau trop d’offre.
Pas question d’envisager un seul instant que c’est la demande qui est anormalement faible.
Il faudra alors se demander pourquoi… et ça casserait l’ambiance.