Publié à l'origine sur la Bourse au quotidien.fr
Chiffres du jour : c’est le « sans faute », mais Wall Street n’en tire aucun profit. L’occasion était pourtant belle en cette veille de séance des « 3 sorcières » de porter les indices américains vers leurs sommets trimestriels (Dow Jones, S&P500), voir historiques (Nasdaq, Russel 2000).
Les inscriptions hebdomadaires au chômage se sont brusquement contractées de 8 000, à 207 000, à l’issue de la semaine du 8 au 14 juillet (c’est le plus faible total depuis 1969).
Le dollar s’apprécie
L’indice Philly Fed de la FED de Philadelphie est ressorti à 25,7, contre 19,9 en juin et 20,8 anticipé.
Enfin l’indice des indicateurs avancés du Conference Board progresse de 0,5% en juin, mieux que les +0,4% attendu par le consensus.
Pas de réaction à Wall Street, ne peut même pas imputer l’avancée de 0,5% du dollar (face à l’euro, vers 1,1610) à ces bons chiffres puisque l’essentiel de la hausse s’était matérialisée dès le milieu de la matinée.