Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,91% à mi-séance mardi, alors que les inquiétudes au sujet du plan d'aide controversé pour l'île de Chypre continuaient de peser sur le moral des investisseurs.
Les banques chypriotes resteront fermées jusqu'à jeudi, jusqu'à ce que les détails de la taxe sur les dépôts soient ratifiés par le Parlement du pays.
En contrepartie d'un prêt de 10 milliards d'euros, le gouvernement chypriote s'était engagé samedi à instaurer une taxe exceptionnelle de 6,75% sur tous les dépôts bancaires en-deçà de 100.000 euros et de 9,9% au-delà.
En attendant, la zone euro a demandé lundi soir à Nicosie de ne plus taxer les déposants en dessous de 100.000 euros, afin d'appaiser les critiques, à condition que la taxe continue à rapporter près de 6 milliards d'euros comme prévu.
Sur le front des statistiques, l’indice ZEW du climat des affaires allemand a progressé de 0,3 point à 48,5 en mars, au plus haut depuis avril 2010, contre un repli à 48 anticipé par les analystes.
Par ailleurs, l’OCDE a abaissé sa prévision de croissance du PIB de la France à 0,1% cette année, contre 0,3% auparavant, et maintenu son estimation à 1,3% pour 2014.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge. BNP Paribas pliait de 1,47% à mi-séance, alors que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 2,14% et 1,96% respectivement.
Egalement dans le rouge, ArcelorMittal lâchait 2,80% en milieu de séance, dans le sillage de l'allemand ThyssenKrupp, en repli de plus de 6% après l’annonce d’une augmentation de capital de plus de 1 milliard d’euros.
A l'inverse, Carrefour s'octroyait 1,94% à la mi-journée, alors que la chaîne de supermarchés italienne Conad a fait par de son intérêt par Carrefour Italia, selon Il Messaggero.
Iliad gagnait aussi du terrain et engrageait 6,25% à mi-séance, soutenu par des résultats supérieurs aux prévisions des analystes. Le groupe a vu son chiffre d’affaires progresser de 48,6% à 3,15 milliards d’euros en 2012, tandis que l’excédent brut d’exploitation s’est apprécié de 10,6% à 921,4 millions.
Le bénéfice net a diminué de 25,9% à 186,5 millions d’euros du fait des investissements liés à l’entrée du groupe sur le marché français du mobile.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,71%, tandis que le DAX pliait de 0,52% et le Footsie 100 cédait 0,37%.
Un indicateur américain était attendu dans l’après-midi: les mises en chantier de logements de février.
Les banques chypriotes resteront fermées jusqu'à jeudi, jusqu'à ce que les détails de la taxe sur les dépôts soient ratifiés par le Parlement du pays.
En contrepartie d'un prêt de 10 milliards d'euros, le gouvernement chypriote s'était engagé samedi à instaurer une taxe exceptionnelle de 6,75% sur tous les dépôts bancaires en-deçà de 100.000 euros et de 9,9% au-delà.
En attendant, la zone euro a demandé lundi soir à Nicosie de ne plus taxer les déposants en dessous de 100.000 euros, afin d'appaiser les critiques, à condition que la taxe continue à rapporter près de 6 milliards d'euros comme prévu.
Sur le front des statistiques, l’indice ZEW du climat des affaires allemand a progressé de 0,3 point à 48,5 en mars, au plus haut depuis avril 2010, contre un repli à 48 anticipé par les analystes.
Par ailleurs, l’OCDE a abaissé sa prévision de croissance du PIB de la France à 0,1% cette année, contre 0,3% auparavant, et maintenu son estimation à 1,3% pour 2014.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge. BNP Paribas pliait de 1,47% à mi-séance, alors que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 2,14% et 1,96% respectivement.
Egalement dans le rouge, ArcelorMittal lâchait 2,80% en milieu de séance, dans le sillage de l'allemand ThyssenKrupp, en repli de plus de 6% après l’annonce d’une augmentation de capital de plus de 1 milliard d’euros.
A l'inverse, Carrefour s'octroyait 1,94% à la mi-journée, alors que la chaîne de supermarchés italienne Conad a fait par de son intérêt par Carrefour Italia, selon Il Messaggero.
Iliad gagnait aussi du terrain et engrageait 6,25% à mi-séance, soutenu par des résultats supérieurs aux prévisions des analystes. Le groupe a vu son chiffre d’affaires progresser de 48,6% à 3,15 milliards d’euros en 2012, tandis que l’excédent brut d’exploitation s’est apprécié de 10,6% à 921,4 millions.
Le bénéfice net a diminué de 25,9% à 186,5 millions d’euros du fait des investissements liés à l’entrée du groupe sur le marché français du mobile.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,71%, tandis que le DAX pliait de 0,52% et le Footsie 100 cédait 0,37%.
Un indicateur américain était attendu dans l’après-midi: les mises en chantier de logements de février.