Investing.com - L'euro a sombré dans un creux journalier face au dollar U.S. ce jeudi après que de piètres résultats de la part de l'Allemagne et de la France aient remis en question l'état de l'économie où il a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2885 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2887, perdant 0.37%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2842, son plancher de quatre ois établi mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.2954, son plafond du jour.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur secondaire de la région a ainsi plongé depuis 47.9 vers 46.6 après ajustement saisonnier, au lieu des 48.2 espérés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 47.9 vers 46.5 dans le même temps.
L'Allemagne a vu son premier sombrer de 50.3 à 48.9, alors que ses services connaissaient leur plus faible expansion en quatre mois.
La France voyait par contre le sien rester stable à 43.9, alors que son second sombrait à 41.9, son niveau le plus bas en 49 mois.
La monnaie unique avait pourtant repris des couleurs après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
Les turbulences dans le bloc où elle a cours se prolongeaient, sur fond de négociations destinées à trouver une alternative au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé mardi par le refus du parlement chypriote d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
La devise européenne a aussi plongé au plus bas de la journée par rapport à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP chutant de 0.58% vers 0.8515, et l'EUR/JPY dérapant de 0.64% pour glisser à 123.39.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, tandis que les experts en immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements d'occasion.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2885 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2887, perdant 0.37%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2842, son plancher de quatre ois établi mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.2954, son plafond du jour.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur secondaire de la région a ainsi plongé depuis 47.9 vers 46.6 après ajustement saisonnier, au lieu des 48.2 espérés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 47.9 vers 46.5 dans le même temps.
L'Allemagne a vu son premier sombrer de 50.3 à 48.9, alors que ses services connaissaient leur plus faible expansion en quatre mois.
La France voyait par contre le sien rester stable à 43.9, alors que son second sombrait à 41.9, son niveau le plus bas en 49 mois.
La monnaie unique avait pourtant repris des couleurs après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
Les turbulences dans le bloc où elle a cours se prolongeaient, sur fond de négociations destinées à trouver une alternative au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé mardi par le refus du parlement chypriote d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
La devise européenne a aussi plongé au plus bas de la journée par rapport à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP chutant de 0.58% vers 0.8515, et l'EUR/JPY dérapant de 0.64% pour glisser à 123.39.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, tandis que les experts en immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements d'occasion.