Publiés ce mercredi après marché, les comptes du premier semestre de l'UFF ont notamment été marqués par une baisse de 28% du résultat net consolidé part du groupe en rythme annuel à 11 millions d'euros.
Le bénéfice d'exploitation a quant à lui reculé de 38% comparativement à la première moitié de l'exercice clos à 14,2 millions d'euros, tandis que le produit net bancaire (PNB) s'est inscrit en retrait de 6% à 96,7 millions.
Sur le seul deuxième trimestre, le PNB a diminué de 5% à 49,2 millions d'euros.
Le groupe a également vu son activité commerciale s'éroder de 8% à fin juin à 680,1 millions d'euros, avec une forte disparité entre les classes d'actifs exposées à la volatilité des marchés financiers. L'assurance-vie, l'entreprise et les valeurs mobilières ont ainsi reculé de respectivement 9, 36 et 45%, tandis que l'immobilier direct et le segment 'SCPI' affichent des progressions de 12 et 39%.
Enfin, la collecte nette, pénalisée par une augmentation de 4% des volumes de rachat et par des remboursements de fonds dissous à hauteur de 22 millions d'euros, est passée de 62 millions d'euros au terme de la première moitié de l'exercice 2015 à 45 millions.
Plusieurs projets structurants du plan 'Odyssée 2020' ont été lancés au cours du premier semestre. 'Priorité a été donnée à la transformation des fonctions supports et à l'enrichissement de l'expérience client au travers de nouveaux outils digitaux en cours de déploiement', a expliqué l'UFF, dont le directeur général Paul Younès a expliqué vouloir, 'plus que jamais, concentrer (ses) efforts sur le déploiement (du) plan 'Odyssée 2020', afin de saisir les opportunités de marché et de diversifier nos leviers de croissance'.
Le conseil d'administration a décidé le versement d'un acompte sur dividende de 0,6 euro par action le 3 novembre prochain.
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Le bénéfice d'exploitation a quant à lui reculé de 38% comparativement à la première moitié de l'exercice clos à 14,2 millions d'euros, tandis que le produit net bancaire (PNB) s'est inscrit en retrait de 6% à 96,7 millions.
Sur le seul deuxième trimestre, le PNB a diminué de 5% à 49,2 millions d'euros.
Le groupe a également vu son activité commerciale s'éroder de 8% à fin juin à 680,1 millions d'euros, avec une forte disparité entre les classes d'actifs exposées à la volatilité des marchés financiers. L'assurance-vie, l'entreprise et les valeurs mobilières ont ainsi reculé de respectivement 9, 36 et 45%, tandis que l'immobilier direct et le segment 'SCPI' affichent des progressions de 12 et 39%.
Enfin, la collecte nette, pénalisée par une augmentation de 4% des volumes de rachat et par des remboursements de fonds dissous à hauteur de 22 millions d'euros, est passée de 62 millions d'euros au terme de la première moitié de l'exercice 2015 à 45 millions.
Plusieurs projets structurants du plan 'Odyssée 2020' ont été lancés au cours du premier semestre. 'Priorité a été donnée à la transformation des fonctions supports et à l'enrichissement de l'expérience client au travers de nouveaux outils digitaux en cours de déploiement', a expliqué l'UFF, dont le directeur général Paul Younès a expliqué vouloir, 'plus que jamais, concentrer (ses) efforts sur le déploiement (du) plan 'Odyssée 2020', afin de saisir les opportunités de marché et de diversifier nos leviers de croissance'.
Le conseil d'administration a décidé le versement d'un acompte sur dividende de 0,6 euro par action le 3 novembre prochain.
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