Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. ce mardi, s'extirpant de son ornière des 16 derniers mois établie la veille, mais cette avancée est demeurée limitée par des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro, continuant à peser sur le moral des investisseurs.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.17% pour grimper à 1.2781.
L'atmosphère s'est trouvée éclaircie par un lancement en fanfare de la saison des annonces de résultats, tirant les marchés boursiers et les espoirs concernant l'économie des Etats-Unis vers le haut.
Mais le problème du surendettement de l'Europe restait au centre des débats, une rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée et porter sur le plan de sauvetage de la Grèce.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.16% pour se hisser à 0.827.
Les experts de l'immobilier britannique ont pour leur part fait savoir dans la matinée que les prix des logements avaient reculé moins vite lors de la période de trois mois s'achevant en décembre, mais que la tendance ne devrait toutefois pas s'inverser au cours des prochains mois.
Les revendeurs ont annoncé de leur côté que les ventes au détail dans le Royaume-Uni avaient rebondi en décembre, mais qu'ils s'attendaient malgré cela à une année 2012 difficile.
Elle a d'autre part exercé sa pression sur la valeur refuge du yen, l'EUR/JPY arrachant 0.19% pour se retrouver à 98.27, après avoir plongé lundi vers un plancher des 11 dernières années à 97.26
Il en a été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF grignotant 0.04% pour monter à 1.2126.
Elle avait caracolé vers un pic de trois mois et demi contre la devise helvète après que Phillip Hildebrand ait démissionné de son poste de président de la Banque Nationale Suisse, semant le doute sur la capacité de celle-ci à maintenir son taux plancher de 1.2 avec l'euro.
Elle est toutefois rapidement retombée après que la banque centrale de la confédération ait renouvelé son engagement à le maintenir avec "la plus farouche détermination".
Son président a dû abandonner son poste suite au scandale des investissements monétaires effectués par sa femme quelques semaines à peine avant l'intervention destinée à juguler la flambée du swissy.
La devise européenne a par ailleurs été poussée vers des gouffres historiques par ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD plongeant de 0.7% pour s'effondrer à 1.2378 et l'EUR/NZD sombrant de 0.78% pour toucher le fond à 1.6086.
Les autorités d'Australie avaient auparavant fait savoir qu'elles avaient accordé davantage de permis de construire en novembre qu'il n'avait été prévu, leur nombre augmentant de 8.4% après avoir fondu de 10% pour le mois précédent, et ce alors que les analystes n'espéraient pas plus de 6.6% d'amélioration.
La situation était inversée en Nouvelle-Zélande, celui-ci dérapant de 6.4% après avoir engrangé 10.7%.
Elle a suivi le même chemin avec son équivalente canadienne, l'EUR/CAD régressant de 0.48% pour aller vers 1.3001.
Les acteurs des marchés surveillaient de près les coûts des emprunts des pays européens en difficulté, comme l'Espagne et l'Italie, dans l'expectative des ventes aux enchères de leurs dettes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part maintenu vers 7.17%, dépassant ainsi le seuil des 7% généralement considéré comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se limitaient à 5.59%.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.17% pour grimper à 1.2781.
L'atmosphère s'est trouvée éclaircie par un lancement en fanfare de la saison des annonces de résultats, tirant les marchés boursiers et les espoirs concernant l'économie des Etats-Unis vers le haut.
Mais le problème du surendettement de l'Europe restait au centre des débats, une rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée et porter sur le plan de sauvetage de la Grèce.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.16% pour se hisser à 0.827.
Les experts de l'immobilier britannique ont pour leur part fait savoir dans la matinée que les prix des logements avaient reculé moins vite lors de la période de trois mois s'achevant en décembre, mais que la tendance ne devrait toutefois pas s'inverser au cours des prochains mois.
Les revendeurs ont annoncé de leur côté que les ventes au détail dans le Royaume-Uni avaient rebondi en décembre, mais qu'ils s'attendaient malgré cela à une année 2012 difficile.
Elle a d'autre part exercé sa pression sur la valeur refuge du yen, l'EUR/JPY arrachant 0.19% pour se retrouver à 98.27, après avoir plongé lundi vers un plancher des 11 dernières années à 97.26
Il en a été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF grignotant 0.04% pour monter à 1.2126.
Elle avait caracolé vers un pic de trois mois et demi contre la devise helvète après que Phillip Hildebrand ait démissionné de son poste de président de la Banque Nationale Suisse, semant le doute sur la capacité de celle-ci à maintenir son taux plancher de 1.2 avec l'euro.
Elle est toutefois rapidement retombée après que la banque centrale de la confédération ait renouvelé son engagement à le maintenir avec "la plus farouche détermination".
Son président a dû abandonner son poste suite au scandale des investissements monétaires effectués par sa femme quelques semaines à peine avant l'intervention destinée à juguler la flambée du swissy.
La devise européenne a par ailleurs été poussée vers des gouffres historiques par ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD plongeant de 0.7% pour s'effondrer à 1.2378 et l'EUR/NZD sombrant de 0.78% pour toucher le fond à 1.6086.
Les autorités d'Australie avaient auparavant fait savoir qu'elles avaient accordé davantage de permis de construire en novembre qu'il n'avait été prévu, leur nombre augmentant de 8.4% après avoir fondu de 10% pour le mois précédent, et ce alors que les analystes n'espéraient pas plus de 6.6% d'amélioration.
La situation était inversée en Nouvelle-Zélande, celui-ci dérapant de 6.4% après avoir engrangé 10.7%.
Elle a suivi le même chemin avec son équivalente canadienne, l'EUR/CAD régressant de 0.48% pour aller vers 1.3001.
Les acteurs des marchés surveillaient de près les coûts des emprunts des pays européens en difficulté, comme l'Espagne et l'Italie, dans l'expectative des ventes aux enchères de leurs dettes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part maintenu vers 7.17%, dépassant ainsi le seuil des 7% généralement considéré comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se limitaient à 5.59%.