Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mercredi matin, sur fond de nervosité dans l'expectative du vote au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.17%, mais le DAX 30 allemand arrachait cependant 0.06%.
Les débats américains restaient sur le devant de la scène, après que les élus républicains aient laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois de l'endettement maximal du pays, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
L'ambiance s'était trouvée plombée hier en raison de rumeurs selon lesquelles certaines grandes banques allemandes pourraient se trouver dans l'obligation de scinder leurs activités de détail et d'investissement.
La finance était du coup en berne, les français BNP Paribas et Société Générale dérapant de 0.89 et 0.57%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.75 et 0.81%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que ce dernier devrait débourser 1.6 millions d'USD afin d'échapper aux poursuites de la commission fédérale de régulation de l'énergie, accusant une de ses succursales d'avoir manipulé le marché californien de l'électricité.
Elle a aussi indiqué qu'il devrait payer 1.5 millions d'USD de dommages au civil et 172 645 USD avec intérêts à l'opérateur du réseau électrique de l'état.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit reculant de 1.46 et 0.09%, suivis des espagnols Banco Santander et BBVA avec 0.31 et 0.39%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques Novartis engrangeant 1.66% après avoir annoncé que son président Daniel Vasella laisserait sa place au sein du conseil d'administration après l'avoir occupée 17 ans, et que Joerg Reinhardt, de Bayer AG, le remplacerait, sans disposer de pouvoirs exécutifs.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.24%, tiré vers le haut alors que le premier ministre britannique David Cameron semblait sur le point de s'engager à présenter à ses compatriotes un référendum proposant de rester ou non membres de l'Union Européenne.
Unilever était en tête avec un bond de 2.28%, suite à la revendication d'une croissance de 7.8% de son chiffre d'affaires, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste, avec 1.26 et 0.05%, et le cuivrier Xstrata n'était pas en reste avec 0.45%.
La City partageait le pessimisme de ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.21%, HSBC Holdings de 0.37% et Lloyds Banking de 1%, tandis que Barclays émergeait toutefois de 0.19%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté fournir dans l'après-midi leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, tandis que le forum économique mondial se poursuivra pour une seconde journée d'affilée dans la station de ski helvète de Davos.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.08%, et le CAC 40 français de 0.17%, mais le DAX 30 allemand arrachait cependant 0.06%.
Les débats américains restaient sur le devant de la scène, après que les élus républicains aient laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois de l'endettement maximal du pays, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
L'ambiance s'était trouvée plombée hier en raison de rumeurs selon lesquelles certaines grandes banques allemandes pourraient se trouver dans l'obligation de scinder leurs activités de détail et d'investissement.
La finance était du coup en berne, les français BNP Paribas et Société Générale dérapant de 0.89 et 0.57%, imités par les allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 1.75 et 0.81%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que ce dernier devrait débourser 1.6 millions d'USD afin d'échapper aux poursuites de la commission fédérale de régulation de l'énergie, accusant une de ses succursales d'avoir manipulé le marché californien de l'électricité.
Elle a aussi indiqué qu'il devrait payer 1.5 millions d'USD de dommages au civil et 172 645 USD avec intérêts à l'opérateur du réseau électrique de l'état.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit reculant de 1.46 et 0.09%, suivis des espagnols Banco Santander et BBVA avec 0.31 et 0.39%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques Novartis engrangeant 1.66% après avoir annoncé que son président Daniel Vasella laisserait sa place au sein du conseil d'administration après l'avoir occupée 17 ans, et que Joerg Reinhardt, de Bayer AG, le remplacerait, sans disposer de pouvoirs exécutifs.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.24%, tiré vers le haut alors que le premier ministre britannique David Cameron semblait sur le point de s'engager à présenter à ses compatriotes un référendum proposant de rester ou non membres de l'Union Européenne.
Unilever était en tête avec un bond de 2.28%, suite à la revendication d'une croissance de 7.8% de son chiffre d'affaires, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste, avec 1.26 et 0.05%, et le cuivrier Xstrata n'était pas en reste avec 0.45%.
La City partageait le pessimisme de ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.21%, HSBC Holdings de 0.37% et Lloyds Banking de 1%, tandis que Barclays émergeait toutefois de 0.19%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté fournir dans l'après-midi leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, tandis que le forum économique mondial se poursuivra pour une seconde journée d'affilée dans la station de ski helvète de Davos.