Investing.com - La livre sterling, largement remise en question, s'est rapprochée d'un creux de cinq mois face au dollar U.S. ce lundi, sa popularité se trouvant sapée par les angoisses dûes aux perspectives économiques moroses là où elle a cours.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5716 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 août, puis s'est stabilisée vers 1.5737, perdant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5677, son plancher du 20 août, et de rencontrer de la résistance à 1.5784, son plafond du jour.
La devise de la Grande-Bretagne restait en effet sur la sellette après qu'une étude officielle ait montré vendredi que l'économie britannique avait reculé entre début octobre et fin décembre, glissant sur la pente d'une récession à triple tranchant.
Le produit intérieur brut a ainsi diminué de 0.3% au quatrième trimestre par rapport au précédent, tandis qu'il restait neutre d'une année sur l'autre.
Le futur du Royaume-Uni était encore plus incertain au sein de l'Union Européenne, le premier ministre David Cameron s'étant engagé à proposer un référendum sur la question d'ici la fin 2017, sur fond d'accentuation de la pression politique visant à renégocier les termes de son appartenance.
La prudence restait de mise dans l'expectative de l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis et du conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi, ainsi que du rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié vendredi.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine frôlait par ailleurs une ornière de plus d'un an contre l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0.23% pour se hisser à 0.8535.
Les Etats-Unis comptent de leur côté dévoiler dans l'après-midi leur volume des commandes de biens durables, tandis quoi leurs acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5716 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 août, puis s'est stabilisée vers 1.5737, perdant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5677, son plancher du 20 août, et de rencontrer de la résistance à 1.5784, son plafond du jour.
La devise de la Grande-Bretagne restait en effet sur la sellette après qu'une étude officielle ait montré vendredi que l'économie britannique avait reculé entre début octobre et fin décembre, glissant sur la pente d'une récession à triple tranchant.
Le produit intérieur brut a ainsi diminué de 0.3% au quatrième trimestre par rapport au précédent, tandis qu'il restait neutre d'une année sur l'autre.
Le futur du Royaume-Uni était encore plus incertain au sein de l'Union Européenne, le premier ministre David Cameron s'étant engagé à proposer un référendum sur la question d'ici la fin 2017, sur fond d'accentuation de la pression politique visant à renégocier les termes de son appartenance.
La prudence restait de mise dans l'expectative de l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis et du conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi, ainsi que du rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié vendredi.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine frôlait par ailleurs une ornière de plus d'un an contre l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0.23% pour se hisser à 0.8535.
Les Etats-Unis comptent de leur côté dévoiler dans l'après-midi leur volume des commandes de biens durables, tandis quoi leurs acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.