MONTREAL (Reuters) - Le directeur général de Bombardier (TO:BBDb) a déclaré mardi qu'il continuerait à "examiner le paysage concurrentiel" mais a dit ne pas s'attendre à ce que la fusion des activités ferroviaires d' Alstom (PA:ALSO) et de Siemens (DE:SIEGn) entraîne des bouleversements à court terme pour les activités du groupe canadien dans le rail.
Le mariage entre le français Alstom et l'allemand Siemens, avec lequel Bombardier avait auparavant discuté, fournit des "occasions d'aller de l'avant", a dit Alain Bellemare lors d'une conférence organisée par Goldman Sachs (NYSE:GS), sans préciser son propos.
"A court terme - un an, deux ans, trois ans - je ne m'attends à aucun changement pour être honnête", a-t-il poursuivi. "Et même ces grandes fusions vont prendre du temps, en supposant qu'elles obtiennent le feu vert."
(Allison Lampert; Bertrand Boucey pour le service français)