Investing.com - Le dollar U.S. a encore limité les dégâts face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que son homologue d'Europe frôlait toujours sa pire valeur en trois semaines après que le rapport ZEW ait été éclipsé par celui de l'OCDE, tout en subissant la forme du japonais.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro fléchissait devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.06% pour se replier à 1.3342, à portée de tir d'un creux de trois semaines.
Il avait pourtant connu un bref sursaut et établi de nouveaux plafonds journaliers suite à l'annonce selon laquelle le moral économique allemand s'était hissé ce mois-ci au plus haut niveau en 34 mois.
Le centre de recherches économiques ZEW avait déclaré dans la matinée que son baromètre de la confiance dans l'économie germanique avait bondi de 31.2 jusqu'à 48.2 pour février, au lieu des 35 espérés.
Mais il restait sur la sellette après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier que le taux de change de la monnaie unique ne constituait pas un objectif de la politique monétaire, mais qu'il demeurait vital pour la croissance et la stabilité des prix.
Mais l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques a ensuite déploré un ralentissement économique de 0.2% au sein de ses 34 membres au cours dse trois derniers mois de l'année, du jamais vu depuis le premier trimestre 2009.
La pire performance était à mettre au passif de l'Union Européenne, laquelle plongeait de 0.5% pour l'année 2012, tandis que l'ensemble arrachait tout de même une croissance de 1.3% dans le même temps, contre 1.9% en 2011.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY perdant 0.52% pour chuter à 93.47.
Ce dernier s'est raffermi après que Taro Aso, chargé des finances de l'archipel, ait déclaré que le gouvernement ne comptait pas acquérir d'obligations étrangères par l'entremise d'un fonds géré avec la Banque du Japon, au lendemain de l'évocation de l'idée par le premier ministre sur le retour Shinzo Abe.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.12% pour se hisser à 1.5484, mais demeurant encore proche d'une ornière de sept mois, après que de piètres performances économiques du Royaume-Uni aient ranimé le spectre d'une récession à triple tranchant, ainsi que les rumeurs de dégradation de sa notation triple A.
Le franc suisse a d'autre part échoué à exercer sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.11% pour frémir à 0.9244.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne, et néo-zélandaise, mais pas l'australienne, l'USD/CAD progressant de 0.22% pour aller vers 1.0128, l'AUD/USD raflant 0.32% pour monter à 1.0338 et le NZD/USD engrangeant 0.14% pour culminer à 0.8441.
La devise de l'Australie avait repris des couleurs grâce au récit détaillé de la prise de cap effectuée le 5 février par son émettrice, montrant que celle-ci comptait observer les résultats de ses dernières baisses de taux avant d'envisager les renouveler.
Elle a aussi précisé que bien que les perspectives d'inflation lui laissent les coudées franches pour poursuivre dans cette voie si nécessaire, elle ne le ferait que face à une perte de vitesse économique claire.
Sa collègue de Nouvelle-Zélande se remattait de son côté d'un coup de mou découlant de rueurs selon lesquelles les douanes de la Chine auraient détruit du lait en poudre provenant du pays.
Le Fonterra Group, exportateurs de produits lactés basé à Auckland, a toutefois démenti toute destruction de ceux-ci par les autorités chinoises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 80.72.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro fléchissait devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.06% pour se replier à 1.3342, à portée de tir d'un creux de trois semaines.
Il avait pourtant connu un bref sursaut et établi de nouveaux plafonds journaliers suite à l'annonce selon laquelle le moral économique allemand s'était hissé ce mois-ci au plus haut niveau en 34 mois.
Le centre de recherches économiques ZEW avait déclaré dans la matinée que son baromètre de la confiance dans l'économie germanique avait bondi de 31.2 jusqu'à 48.2 pour février, au lieu des 35 espérés.
Mais il restait sur la sellette après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier que le taux de change de la monnaie unique ne constituait pas un objectif de la politique monétaire, mais qu'il demeurait vital pour la croissance et la stabilité des prix.
Mais l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques a ensuite déploré un ralentissement économique de 0.2% au sein de ses 34 membres au cours dse trois derniers mois de l'année, du jamais vu depuis le premier trimestre 2009.
La pire performance était à mettre au passif de l'Union Européenne, laquelle plongeait de 0.5% pour l'année 2012, tandis que l'ensemble arrachait tout de même une croissance de 1.3% dans le même temps, contre 1.9% en 2011.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY perdant 0.52% pour chuter à 93.47.
Ce dernier s'est raffermi après que Taro Aso, chargé des finances de l'archipel, ait déclaré que le gouvernement ne comptait pas acquérir d'obligations étrangères par l'entremise d'un fonds géré avec la Banque du Japon, au lendemain de l'évocation de l'idée par le premier ministre sur le retour Shinzo Abe.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.12% pour se hisser à 1.5484, mais demeurant encore proche d'une ornière de sept mois, après que de piètres performances économiques du Royaume-Uni aient ranimé le spectre d'une récession à triple tranchant, ainsi que les rumeurs de dégradation de sa notation triple A.
Le franc suisse a d'autre part échoué à exercer sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.11% pour frémir à 0.9244.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne, et néo-zélandaise, mais pas l'australienne, l'USD/CAD progressant de 0.22% pour aller vers 1.0128, l'AUD/USD raflant 0.32% pour monter à 1.0338 et le NZD/USD engrangeant 0.14% pour culminer à 0.8441.
La devise de l'Australie avait repris des couleurs grâce au récit détaillé de la prise de cap effectuée le 5 février par son émettrice, montrant que celle-ci comptait observer les résultats de ses dernières baisses de taux avant d'envisager les renouveler.
Elle a aussi précisé que bien que les perspectives d'inflation lui laissent les coudées franches pour poursuivre dans cette voie si nécessaire, elle ne le ferait que face à une perte de vitesse économique claire.
Sa collègue de Nouvelle-Zélande se remattait de son côté d'un coup de mou découlant de rueurs selon lesquelles les douanes de la Chine auraient détruit du lait en poudre provenant du pays.
Le Fonterra Group, exportateurs de produits lactés basé à Auckland, a toutefois démenti toute destruction de ceux-ci par les autorités chinoises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 80.72.