Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce mardi matin, les opérateurs prenant position avant le témoignage devant le congrès du chef de l'émettrice de ce dernier.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3096 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers1,3082 , prenant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2998, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3150, son plafond du 25 juin.
Les observateurs guettent en effet l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs d'une diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Le billet vert avait perdu des plumes après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Des résultats inférieurs aux espérances de la part des entreprises des Etats-Unis ont aussi laissé planer l'angoisse d'une perte de vitesse de leur relance.
Le département d'état au commerce américain a ainsi révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,4% en juin, une contre-performance au vu des 0,5% précédents et des 0,8% envisagés.
Il avait aussi été signalé en fin de journée que l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York était passé le mois dernier de 7,8 à 9,5, sa valeur la plus élevée en cinq mois, alors qu'un recul à 5,0 était redouté.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0,8648, et a aussi gagné un terrain plus substantiel sur le yen, l'EUR/JPY frémissant de 0,13% pour se hisser à 130,59.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3096 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers1,3082 , prenant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2998, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3150, son plafond du 25 juin.
Les observateurs guettent en effet l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs d'une diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Le billet vert avait perdu des plumes après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Des résultats inférieurs aux espérances de la part des entreprises des Etats-Unis ont aussi laissé planer l'angoisse d'une perte de vitesse de leur relance.
Le département d'état au commerce américain a ainsi révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,4% en juin, une contre-performance au vu des 0,5% précédents et des 0,8% envisagés.
Il avait aussi été signalé en fin de journée que l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York était passé le mois dernier de 7,8 à 9,5, sa valeur la plus élevée en cinq mois, alors qu'un recul à 5,0 était redouté.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0,8648, et a aussi gagné un terrain plus substantiel sur le yen, l'EUR/JPY frémissant de 0,13% pour se hisser à 130,59.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.