Investing.com - Le dollar U.S. était à la peine face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, dans l'expectative de la prise de position qu'effectuera sous peu son émettrice, tandis que son homologue britannique se trouvait consolidée par la sienne.
En fin de première partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 99,85.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,37% pour se hisser à 1,5962, aux abords d'un pic de huit mois, après qu'il ait été montré qu'aucun des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre n'était partisan d'ouvrir davantage les vannes.
Le procès-verbal de la réunion qu'elle a tenue en début de mois a en effet montré que ses décideurs avaient voté à l'unanimité le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Ils exprimaient également leur foi dans la solidification de la relance, mettant en relief les signaux positifs émis par le bloc euro voisin.
Elle a aussi rappelé qu'elle ne réduirait pas automatiquement les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers dès que le chômage britannique repassera sous les 7%.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,06% pour reprendre pied à 1,3350.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,01% pour s'élever à 0,9260.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, mais pas par la néo-zélandaise ni la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,04% pour monter à 0,9358, le NZD/USD laissant échapper 0,15% pour toucher le fond à 0,8225 et l'USD/CAD arrachant 0,04% pour aller vers 1,0300.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,26.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.
En fin de première partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 99,85.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,37% pour se hisser à 1,5962, aux abords d'un pic de huit mois, après qu'il ait été montré qu'aucun des membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre n'était partisan d'ouvrir davantage les vannes.
Le procès-verbal de la réunion qu'elle a tenue en début de mois a en effet montré que ses décideurs avaient voté à l'unanimité le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Ils exprimaient également leur foi dans la solidification de la relance, mettant en relief les signaux positifs émis par le bloc euro voisin.
Elle a aussi rappelé qu'elle ne réduirait pas automatiquement les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers dès que le chômage britannique repassera sous les 7%.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,06% pour reprendre pied à 1,3350.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,01% pour s'élever à 0,9260.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, mais pas par la néo-zélandaise ni la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,04% pour monter à 0,9358, le NZD/USD laissant échapper 0,15% pour toucher le fond à 0,8225 et l'USD/CAD arrachant 0,04% pour aller vers 1,0300.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,26.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.