Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce mardi matin, suite à la déception causée par l'état du marché du travail espagnol, qui confortait cependant l'hypothèse d'une réduction des coûts des emprunts de l'autorité monétaire régionale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,12%, le CAC 40 français de 0,15%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne a ainsi décompté 87.000 inscriptions supplémentaires au chômage après ajustement saisonnier, au lieu des 31.300 déjà redoutées.
Cette contre-performance constitue du coup une nette aggravation des 25.600 ayant précédé.
Les cours avaient grimpé hier après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière régionale avait dépassé les espérances le mois passé.
La prudence restait malgré tout de mise à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
La finance était majoritairement sur la défensive, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,31%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,31 et 0,35%.
La périphérie se rebiffait par contre, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,36 et 0,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,25 et 0,31%.
A Francftort, le constructeur automobile BMW dérapait de 3,89% suite à l'aveu d'un coup de frein depuis 2 vers 1,93 milliards d'euros de ses bénéfices au troisième trimestre, bien que ceux-ci demeurent supérieurs aux estimations.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Novartis bondissait cependant de 1,28%, alors qu'il se disait qu'il estimait sa branche centrée sur la santé animale être la meilleure candidate à la vente.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,02%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 1,92 et 2,12%, leurs rivaux Glencore Xstrata et Polymetal n'étant pas en reste avec 2,02 et 2,80%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Barclays empochait 0,47 et HSBC Holdings 0,08%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 0,82 et 2,49%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,10%.
Les signes contradictoires s'accumulaient après que certains décideurs de la banque centrale des Etats-Unis aient laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,12%, le CAC 40 français de 0,15%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne a ainsi décompté 87.000 inscriptions supplémentaires au chômage après ajustement saisonnier, au lieu des 31.300 déjà redoutées.
Cette contre-performance constitue du coup une nette aggravation des 25.600 ayant précédé.
Les cours avaient grimpé hier après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière régionale avait dépassé les espérances le mois passé.
La prudence restait malgré tout de mise à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
La finance était majoritairement sur la défensive, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,31%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,31 et 0,35%.
La périphérie se rebiffait par contre, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,36 et 0,33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,25 et 0,31%.
A Francftort, le constructeur automobile BMW dérapait de 3,89% suite à l'aveu d'un coup de frein depuis 2 vers 1,93 milliards d'euros de ses bénéfices au troisième trimestre, bien que ceux-ci demeurent supérieurs aux estimations.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Novartis bondissait cependant de 1,28%, alors qu'il se disait qu'il estimait sa branche centrée sur la santé animale être la meilleure candidate à la vente.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,02%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 1,92 et 2,12%, leurs rivaux Glencore Xstrata et Polymetal n'étant pas en reste avec 2,02 et 2,80%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Barclays empochait 0,47 et HSBC Holdings 0,08%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 0,82 et 2,49%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,10%.
Les signes contradictoires s'accumulaient après que certains décideurs de la banque centrale des Etats-Unis aient laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.