Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne pour la troisième journée de cotation consécutive ce mardi, se maintenant proches d'un creux des cinq dernières semaines, alors que les résultats décevants du secteur manufacturier américain aggravaient la crainte d'une baisse de la demande de la part du premier consommateur au monde.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 93.99 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93.94 USD, avec 1.36% de fléchissement, leur cours le plus bas du jour, au voisinage du plancher à 93.44 USD précédemment évoqué datant d'hier.
Une étude avait montré lundi que l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements était tombé en juillet à son pire niveau en deux ans, alimentant les incertitudes concernant la reprise de la première économie mondiale.
Il avait par ailleurs été indiqué que l'indice des directeurs des achats chinois était descendu de 50.9 vers 50.7 en juillet, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux plus gros demandeurs d'or noir de la planète, et leurs résultats manufacturiers servent à jauger l'augmentation de leurs besoins.
La chambre des représentants a quand à elle approuvé hier soir la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, qui devrait également être adoptée par le sénat lors du vote final en fin de journée.
La crainte selon laquelle cet accord ne suffirait pas à éviter un abaissement de la notation monétaire du pays a toutefois continué à planer.
Les observateurs attendaient de nouvelles informations hebdomadaires sur les réserves de pétrole brut et raffiné afin d'évaluer la consommation du pays.
L'institut du pétrole américain devrait publier son état des réserves nationales en cours de journée, tandis que le rapport gouvernemental de demain pourrait indiquer que celles de pétrole brut auraient engrangé 1.5 millions de barils la semaine dernière, et celles d'essence 0.5 millions de barils.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont perdu 0.75% pour chuter à 116.03 USD du baril dans le même temps, soit 22.04 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 93.99 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93.94 USD, avec 1.36% de fléchissement, leur cours le plus bas du jour, au voisinage du plancher à 93.44 USD précédemment évoqué datant d'hier.
Une étude avait montré lundi que l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements était tombé en juillet à son pire niveau en deux ans, alimentant les incertitudes concernant la reprise de la première économie mondiale.
Il avait par ailleurs été indiqué que l'indice des directeurs des achats chinois était descendu de 50.9 vers 50.7 en juillet, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux plus gros demandeurs d'or noir de la planète, et leurs résultats manufacturiers servent à jauger l'augmentation de leurs besoins.
La chambre des représentants a quand à elle approuvé hier soir la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, qui devrait également être adoptée par le sénat lors du vote final en fin de journée.
La crainte selon laquelle cet accord ne suffirait pas à éviter un abaissement de la notation monétaire du pays a toutefois continué à planer.
Les observateurs attendaient de nouvelles informations hebdomadaires sur les réserves de pétrole brut et raffiné afin d'évaluer la consommation du pays.
L'institut du pétrole américain devrait publier son état des réserves nationales en cours de journée, tandis que le rapport gouvernemental de demain pourrait indiquer que celles de pétrole brut auraient engrangé 1.5 millions de barils la semaine dernière, et celles d'essence 0.5 millions de barils.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont perdu 0.75% pour chuter à 116.03 USD du baril dans le même temps, soit 22.04 USD de mieux que leurs homologues américaines.