Investing.com - Les options sur l'or ont à peine reculé ce mercredi, alors que les observateurs guettaient pour la fin de journée les conclusions émanant des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale.
L'évolution de la situation politique grecque et les peurs liées à la détérioration de la situation fiscale espagnole étaient également sur toutes les lèvres.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 618.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite entre 1 623.55 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 618.25, leur plus bas.
Il y avait des grandes chances de les voir trouver du soutien à 1 559.35 USD, leur plancher du 8 juin, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 642.15 USD, leur plafond du 6.
Les deux jours de réunion de la banque centrale américaine doivent en effet prendre fin dans la journée, sur fond d'espoir grandissant que ses décideurs annonceront des mesures destinées à stimuler la plus grosse économie mondiale.
De plus en plus d'analystes s'attendent en effet à une prolongation de son Opération Twist, consistant à vendre des dettes à court terme pour en racheter à long terme, s'élevant à 400 milliards d'USD et devant prendre fin avec le mois.
Le comité fédéral des marchés ouverts diffusera ensuite son communiqué sur le cap qu'il aura défini, puis Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse à ce sujet.
L'envolée des cours a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait de nouveau procéder à des acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 9% depuis la fin février, sur fond d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour la contrepartie qu'est l'étalon américain.
La Grèce continuait pour sa part à être au centre des débats, alors que ses dirigeants politiques essayaient de former un gouvernement de coalition solide.
L'aggravation de l'état des caisses de l'Espagne n'était pas non plus à négliger, le taux des obligations décennales du pays étant retombé juste au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Du point de vue technique, il se disait que le métal précieux devrait franchir la barre mensuelle entre 1 635 et 1640 USD pour espérer continuer à grimper.
Il s'était retrouvé légèrement en berne hier après avoir échoué au franchissement des 1 635 USD, déclenchant de nouveaux ordres de vente, ayant récemment buté plusieurs fois contre l'obstacle sans succès.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs glissé de 0.1% pour descendre à 28.34 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.45% pour se retrouver à 3.417 USD la livre dans le même temps.
L'évolution de la situation politique grecque et les peurs liées à la détérioration de la situation fiscale espagnole étaient également sur toutes les lèvres.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 618.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite entre 1 623.55 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 618.25, leur plus bas.
Il y avait des grandes chances de les voir trouver du soutien à 1 559.35 USD, leur plancher du 8 juin, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 642.15 USD, leur plafond du 6.
Les deux jours de réunion de la banque centrale américaine doivent en effet prendre fin dans la journée, sur fond d'espoir grandissant que ses décideurs annonceront des mesures destinées à stimuler la plus grosse économie mondiale.
De plus en plus d'analystes s'attendent en effet à une prolongation de son Opération Twist, consistant à vendre des dettes à court terme pour en racheter à long terme, s'élevant à 400 milliards d'USD et devant prendre fin avec le mois.
Le comité fédéral des marchés ouverts diffusera ensuite son communiqué sur le cap qu'il aura défini, puis Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse à ce sujet.
L'envolée des cours a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait de nouveau procéder à des acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 9% depuis la fin février, sur fond d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour la contrepartie qu'est l'étalon américain.
La Grèce continuait pour sa part à être au centre des débats, alors que ses dirigeants politiques essayaient de former un gouvernement de coalition solide.
L'aggravation de l'état des caisses de l'Espagne n'était pas non plus à négliger, le taux des obligations décennales du pays étant retombé juste au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Du point de vue technique, il se disait que le métal précieux devrait franchir la barre mensuelle entre 1 635 et 1640 USD pour espérer continuer à grimper.
Il s'était retrouvé légèrement en berne hier après avoir échoué au franchissement des 1 635 USD, déclenchant de nouveaux ordres de vente, ayant récemment buté plusieurs fois contre l'obstacle sans succès.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs glissé de 0.1% pour descendre à 28.34 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.45% pour se retrouver à 3.417 USD la livre dans le même temps.