Investing.com - L'euro a à peine gardé la main face au dollar U.S. lors des rares échanges de ce lundi matin, son adversaire profitant de son aura de valeur sûre au vu de la possibilité persistante d'une attaque contre les forces syriennes.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3222 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3221, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3144, son plancher du 22 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3294, son plafond du 2 août.
L'angoisse d'une intervention est en effet montée d'un cran après que le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait Bachar el-Assad actuellement à la tête de la Syrie, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique qualifiée de "brutale et flagrante".
L'avancée du billet vert demeurait cependant limitée après qu'il ait été noté le même jour que la confiance des consommateurs des Etats-Unis avait quitté le mois dernier un piédestal de six ans, le baromètre définitif de l'université du Michigan subissant une érosion depuis 85,1 vers 82,1.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0,39% pour glisser à 0,8493.
L'Espagne et l'Italie comptaient pour leur part fournir aujourd'hui les chiffres de l'activité de leurs industries.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3222 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3221, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3144, son plancher du 22 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3294, son plafond du 2 août.
L'angoisse d'une intervention est en effet montée d'un cran après que le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait Bachar el-Assad actuellement à la tête de la Syrie, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique qualifiée de "brutale et flagrante".
L'avancée du billet vert demeurait cependant limitée après qu'il ait été noté le même jour que la confiance des consommateurs des Etats-Unis avait quitté le mois dernier un piédestal de six ans, le baromètre définitif de l'université du Michigan subissant une érosion depuis 85,1 vers 82,1.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0,39% pour glisser à 0,8493.
L'Espagne et l'Italie comptaient pour leur part fournir aujourd'hui les chiffres de l'activité de leurs industries.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.