Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce lundi matin, après qu'il ait été montré lors de la journée de cotation précédente que l'économie des Etats-Unis avait connu une expansion décevante au cours des trois premiers mois de l'année.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3070 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 1,3063, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2989, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3128, son plafond du 19 avril.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Cette déception est venue conforter l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale poursuivra son programme d'accommodement, sur fond de craintes au sujet du futur de l'économie du pays.
Mais l'avancée de la monnaie unique semblait devoir rester limitée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants ont laissé entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La devise européenne n'a par ailleurs guère réussii à s'éloigner de son creux de trois mois par rapport à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0,8418, et a bien résisté au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,06% pour glisser à 127,69.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur leur nombre des ventes de logements en cours.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3070 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 1,3063, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2989, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3128, son plafond du 19 avril.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Cette déception est venue conforter l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale poursuivra son programme d'accommodement, sur fond de craintes au sujet du futur de l'économie du pays.
Mais l'avancée de la monnaie unique semblait devoir rester limitée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants ont laissé entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La devise européenne n'a par ailleurs guère réussii à s'éloigner de son creux de trois mois par rapport à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0,8418, et a bien résisté au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,06% pour glisser à 127,69.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur leur nombre des ventes de logements en cours.