Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce mardi, les inquiétudes ravivées concernant la lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro pesant sur le moral des investisseurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13%, alors que celles sur le Nasdaq 100 laissaient présager une amélioration de 0.26%.
L'humeur des observateurs s'était trouvée hier descendue en flammes par Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, déclarant que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de solution définitive au problème du surendettement régional.
Elle n'a pas été encouragée par l'étude officielle révélant ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% par rapport à l'année dernière, au lieu des 9.5% précédents.
L'agence Moody's avait auparavant averti la France du placement sous une perspectives négative et d'une dégradation potentielle de sa notation monétaire.
La finance se trouvait en net recul, suivant le chemin tracé par son homologue européenne en attendant un certain nombre d'annonces de résultats, la Bank of America dégringolant ainsi de 2.58% malgré 0.56 USD de revenus avancés par action pour 28.7 milliards de recettes, dépassant largement les prévisions sur ces deux fronts.
Goldman Sachs a grignoté 0.18%, après avoir pourtant avoué des pertes supérieures aux craintes, se montant à 393 millions d'USD pour le troisième trimestre, les premières depuis 2008, entraînées par l'effondrement de 33% des revenus de ses investissements bancaires, JP Morgan-Chase reculant par ailleurs de 2.67% et Citigroup de 1.65%.
Le géant informatique IBM a pour sa part dévissé de 2.07% alors qu'il a dépassé ses objectifs et revu ses perspectives de dividendes pour 2011 vers le haut.
Dans le même domaine, Intel a laissé échapper 0.94% et Apple 0.48% dans l'attente de leurs résultats saisonniers, prévus pour après la clôture des transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter les laboratoires pharaceutiques Johnson & Johnson et Coca-Coal, le géant des boissons, dont les scores devraient être connus en cours d'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 sombrant de 1.12%, le CAC 40 français de 1.64%, le DAX 30 allemand de 0.42% et le FTSE 100 britannique de 1.24%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait coulé de 4.7%, et le Nikkei 225 japonais 1.55%.
Une étude émanant du gouvernement américain avait auparavant signalé que l'inflation des prix à la production nationale avait dépassé les attentes en septembre, se montant à 0.8%, après avoir été nulle le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pas la voir dépasser 0.2% pour la période considérée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prendre la parole dans la soirée lors de la cinquante-sixième conférence économique de celle-ci à Boston.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13%, alors que celles sur le Nasdaq 100 laissaient présager une amélioration de 0.26%.
L'humeur des observateurs s'était trouvée hier descendue en flammes par Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, déclarant que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de solution définitive au problème du surendettement régional.
Elle n'a pas été encouragée par l'étude officielle révélant ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% par rapport à l'année dernière, au lieu des 9.5% précédents.
L'agence Moody's avait auparavant averti la France du placement sous une perspectives négative et d'une dégradation potentielle de sa notation monétaire.
La finance se trouvait en net recul, suivant le chemin tracé par son homologue européenne en attendant un certain nombre d'annonces de résultats, la Bank of America dégringolant ainsi de 2.58% malgré 0.56 USD de revenus avancés par action pour 28.7 milliards de recettes, dépassant largement les prévisions sur ces deux fronts.
Goldman Sachs a grignoté 0.18%, après avoir pourtant avoué des pertes supérieures aux craintes, se montant à 393 millions d'USD pour le troisième trimestre, les premières depuis 2008, entraînées par l'effondrement de 33% des revenus de ses investissements bancaires, JP Morgan-Chase reculant par ailleurs de 2.67% et Citigroup de 1.65%.
Le géant informatique IBM a pour sa part dévissé de 2.07% alors qu'il a dépassé ses objectifs et revu ses perspectives de dividendes pour 2011 vers le haut.
Dans le même domaine, Intel a laissé échapper 0.94% et Apple 0.48% dans l'attente de leurs résultats saisonniers, prévus pour après la clôture des transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter les laboratoires pharaceutiques Johnson & Johnson et Coca-Coal, le géant des boissons, dont les scores devraient être connus en cours d'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 sombrant de 1.12%, le CAC 40 français de 1.64%, le DAX 30 allemand de 0.42% et le FTSE 100 britannique de 1.24%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait coulé de 4.7%, et le Nikkei 225 japonais 1.55%.
Une étude émanant du gouvernement américain avait auparavant signalé que l'inflation des prix à la production nationale avait dépassé les attentes en septembre, se montant à 0.8%, après avoir été nulle le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pas la voir dépasser 0.2% pour la période considérée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prendre la parole dans la soirée lors de la cinquante-sixième conférence économique de celle-ci à Boston.