Investing.com - La semaine passée aura vu les options sur l'or compenser une partie de leurs pertes, s'extirpant d'un creux du mois écoulé après que le G7 soit intervenu sur le marché des changes et que la persistance des troubles en Afrique du Nord et au Moyen-Orient aient étouffé l'audace.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 419.95 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, cédant 0.2%.
Ils avaient bondi de 1.05% ce jour-là, après que les pays membres du G7 soient intervenus sur le forex pour juguler la récente ascension du yen, qui a atteint des sommets historiques face au dollar à la suite du séisme de force 9 sur l'échelle de Richter, du tsunami et de l'alerte nucléaire subséquente.
Cette action a fait remonter le billet vert sur le yen, l'euro ayant quand à lui bondi vers un pic des 4 derniers mois face à l'étalon américain. L'indice dollar a décroché de 1.1% sur la semaine, pour se retrouver à 75.84 à la fermeture des marchés de vendredi, son pire niveau en 4 mois.
Le dollar faible rend les matières premières aux prix libellés avec moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, améliorant leur attrait en tant qu'investissement alternatif, profitant ainsi aux cours de l'or.
Les tensions géopolitiques non résolues au Bahreïn et en Libye ont également redoré le blason des valeurs sûres, après que des forces de sécurité du voisin saoudien soient venues soutenir le gouvernement du premier, tandis que les escarmouches entre les troupes loyalistes du colonel Kadhafi et les factions rebelles se poursuivaient.
L'or est souvent considéré comme un refuge contre l'agitation politique ou les récessions économiques car il est davantage indépendant de la production industrielle que les autres matières premières et les actions.
Goldman Sachs a par ailleurs annoncé vendredi s'attendre à voir les cours de l'or "rebondir vers notre objectif trimestriel à 1 480 USD de l'once".
Le broker a en effet précisé dans un rapport que les conséquences du tremblement de terre nippon et l'instabilité géopolitique des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord avaient augmenté les incertitudes mondiales, constituant "un terreau fertile pour des cours de l'or élevés à court terme".
Ces derniers avaient toutefois dégringolé mardi de 2.3% et touché le fond à 1 380.65 USD l'once, leur plancher des 4 semaines écoulées, la frilosité découlant de l'aggravation de la crise nucléaire japonaise ayant déclenché une large mouvement de liquidation des matières premières et des actions.
Les futures sur l'argent pour mai ont pour leur part plongé de 1.6% pour tomber à 35.27 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 3.65% pour se retrouver à 4.36 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 419.95 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, cédant 0.2%.
Ils avaient bondi de 1.05% ce jour-là, après que les pays membres du G7 soient intervenus sur le forex pour juguler la récente ascension du yen, qui a atteint des sommets historiques face au dollar à la suite du séisme de force 9 sur l'échelle de Richter, du tsunami et de l'alerte nucléaire subséquente.
Cette action a fait remonter le billet vert sur le yen, l'euro ayant quand à lui bondi vers un pic des 4 derniers mois face à l'étalon américain. L'indice dollar a décroché de 1.1% sur la semaine, pour se retrouver à 75.84 à la fermeture des marchés de vendredi, son pire niveau en 4 mois.
Le dollar faible rend les matières premières aux prix libellés avec moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, améliorant leur attrait en tant qu'investissement alternatif, profitant ainsi aux cours de l'or.
Les tensions géopolitiques non résolues au Bahreïn et en Libye ont également redoré le blason des valeurs sûres, après que des forces de sécurité du voisin saoudien soient venues soutenir le gouvernement du premier, tandis que les escarmouches entre les troupes loyalistes du colonel Kadhafi et les factions rebelles se poursuivaient.
L'or est souvent considéré comme un refuge contre l'agitation politique ou les récessions économiques car il est davantage indépendant de la production industrielle que les autres matières premières et les actions.
Goldman Sachs a par ailleurs annoncé vendredi s'attendre à voir les cours de l'or "rebondir vers notre objectif trimestriel à 1 480 USD de l'once".
Le broker a en effet précisé dans un rapport que les conséquences du tremblement de terre nippon et l'instabilité géopolitique des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord avaient augmenté les incertitudes mondiales, constituant "un terreau fertile pour des cours de l'or élevés à court terme".
Ces derniers avaient toutefois dégringolé mardi de 2.3% et touché le fond à 1 380.65 USD l'once, leur plancher des 4 semaines écoulées, la frilosité découlant de l'aggravation de la crise nucléaire japonaise ayant déclenché une large mouvement de liquidation des matières premières et des actions.
Les futures sur l'argent pour mai ont pour leur part plongé de 1.6% pour tomber à 35.27 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 3.65% pour se retrouver à 4.36 USD la livre dans le même temps.