Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a terminé la séance en repli de 0,78% lundi, alors que les investisseurs ont procédé à des dégagements bénéficiaires suivant l'envolée de vendredi suscitée par l'annonce de nouvelles mesures d'assouplissement par la Réserve fédérale.
Le moral des investisseurs restait relativement positif, soutenu par les mesures de soutien annoncées par la Fed et de l’engagement de la BCE a racheter des obligations souveraines des pays de la zone euro en difficulté.
Par ailleurs, la Banque de France a estimé, lundi matin, que la croissance devrait se situer juste en dessous de 1% en 2013, confirmant ainsi les estimations du gouvernement.
Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a également déclaré que le Mécanisme européen de stabilité (MES) témoigne de l'irreversibilité de l'euro et qu'une Union bancaire européenne est le gage d'une union monétaire plus solide.
Sur le front des statistiques, l’activité manufacturière a nettement ralenti dans l’Etat de New York en septembre, l’indice Empire State chutant à -10,41 points, son plus bas niveau depuis avril 2009, contre -5,85 en août et -2 anticipé par le marché.
Dans la zone euro, l’excédent commercial de la zone euro est ressorti à 15,6 milliards d’euros en juillet, contre 13,6 milliards en juin et 2,1 milliards en juillet 2011. Le coût de la main d’œuvre a quant à lui augmenté de 1,6% sur un an au deuxième trimestre au sein des Dix-Sept, après une hausse de 1,5% au premier.
Du côté des valeurs, les cycliques ont particulièrement bénéficié du regain d'optimisme sur les marchés. En fin de séance, EADS engrangeait 2,55%, alors que les Echos rapportaient plus tôt que le rapprochement avec BAE Systems prendrait la forme d’une entité duale sur le modèle de Royal Dutch Shell ou d’Unilever avec une mise en commun de leurs intérêts et un conseil d’administration unique.
Les actions des deux sociétés continueront de coter séparément, tandis que Lagardère et l’Etat français seraient dilués tout en demeurant actionnaires minoritaires, précise le quotidien.
Egalement dans le vert, Vallourec s'octroyait 2,21% après avoir annoncé un chiffre d'affaires consolidé de 1,33 milliard d'euros au deuxième trimestre, en hausse séquentielle de 11% par rapport au trois premiers mois de 2012.
A l'inverse, les opérateurs télécom restaient dans le rouge en fin de séance, après que Morgan Stanley est passé de "attractif" à "en ligne" sur le secteur en Europe. L’intermédiaire a également dégradé France Télécom de "pondération en ligne" à "sous-pondérer", dont le titre a fini la séance en repli de 2,26%.
Egalement en terrain négatif, Vivendi abandonnait 1,80%, alors qu’UBS est passé de "neutre" à "vendre" sur le titre.
Par ailleurs, EDF a terminé la séance en retrait de 0,57%, alors que le groupe a démenti les informations du Journal du Dimanche selon lesquelles il réclamerait plus de 2 milliards d’euros d’indemnités à l’Etat pour compenser l’impact de la fermeture de la centrale de Fessenheim, prévue pour la fin 2016.
Enfin, les valeurs financières s'incrivaient dans le vert en fin de séance, lundi. BNP Paribas a fini sur un rebond de 1,08%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole ont grimpé de 0,93% et de 1,06% respectivement.
Les banques grecques candidates au rachat d’Emporiki, filiale du Crédit Agricole, ont soumis des offres révisées qui devraient inclure les garanties demandées par l’établissement français.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,35%, le DAX cédait 0,13% et le Footsie 100 abandonnait 0,41%.
Le moral des investisseurs restait relativement positif, soutenu par les mesures de soutien annoncées par la Fed et de l’engagement de la BCE a racheter des obligations souveraines des pays de la zone euro en difficulté.
Par ailleurs, la Banque de France a estimé, lundi matin, que la croissance devrait se situer juste en dessous de 1% en 2013, confirmant ainsi les estimations du gouvernement.
Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a également déclaré que le Mécanisme européen de stabilité (MES) témoigne de l'irreversibilité de l'euro et qu'une Union bancaire européenne est le gage d'une union monétaire plus solide.
Sur le front des statistiques, l’activité manufacturière a nettement ralenti dans l’Etat de New York en septembre, l’indice Empire State chutant à -10,41 points, son plus bas niveau depuis avril 2009, contre -5,85 en août et -2 anticipé par le marché.
Dans la zone euro, l’excédent commercial de la zone euro est ressorti à 15,6 milliards d’euros en juillet, contre 13,6 milliards en juin et 2,1 milliards en juillet 2011. Le coût de la main d’œuvre a quant à lui augmenté de 1,6% sur un an au deuxième trimestre au sein des Dix-Sept, après une hausse de 1,5% au premier.
Du côté des valeurs, les cycliques ont particulièrement bénéficié du regain d'optimisme sur les marchés. En fin de séance, EADS engrangeait 2,55%, alors que les Echos rapportaient plus tôt que le rapprochement avec BAE Systems prendrait la forme d’une entité duale sur le modèle de Royal Dutch Shell ou d’Unilever avec une mise en commun de leurs intérêts et un conseil d’administration unique.
Les actions des deux sociétés continueront de coter séparément, tandis que Lagardère et l’Etat français seraient dilués tout en demeurant actionnaires minoritaires, précise le quotidien.
Egalement dans le vert, Vallourec s'octroyait 2,21% après avoir annoncé un chiffre d'affaires consolidé de 1,33 milliard d'euros au deuxième trimestre, en hausse séquentielle de 11% par rapport au trois premiers mois de 2012.
A l'inverse, les opérateurs télécom restaient dans le rouge en fin de séance, après que Morgan Stanley est passé de "attractif" à "en ligne" sur le secteur en Europe. L’intermédiaire a également dégradé France Télécom de "pondération en ligne" à "sous-pondérer", dont le titre a fini la séance en repli de 2,26%.
Egalement en terrain négatif, Vivendi abandonnait 1,80%, alors qu’UBS est passé de "neutre" à "vendre" sur le titre.
Par ailleurs, EDF a terminé la séance en retrait de 0,57%, alors que le groupe a démenti les informations du Journal du Dimanche selon lesquelles il réclamerait plus de 2 milliards d’euros d’indemnités à l’Etat pour compenser l’impact de la fermeture de la centrale de Fessenheim, prévue pour la fin 2016.
Enfin, les valeurs financières s'incrivaient dans le vert en fin de séance, lundi. BNP Paribas a fini sur un rebond de 1,08%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole ont grimpé de 0,93% et de 1,06% respectivement.
Les banques grecques candidates au rachat d’Emporiki, filiale du Crédit Agricole, ont soumis des offres révisées qui devraient inclure les garanties demandées par l’établissement français.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,35%, le DAX cédait 0,13% et le Footsie 100 abandonnait 0,41%.