Investing.com - Les options sur le brut ont vu fondre leur progression ce lundi, retombant de leur pic du jour suite à la révélation de résultats décevants du domaine manufacturier de la zone euro, éclipsant l'espoir d'une fin rapide au problème du surendettement régional.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 87.72 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant tout de même 0.37%.
Ils avaient auparavant culminé à 88.64 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 1.59%.
Des résultats prélinaires montrant ce matin que l'activité manufacturière de la zone euro avait glissé en obtobre à son plus bas niveau en 27 mois les avait placés sur la sellette.
D'autres indiquant qu'il en avait été de même pour l'Allemagne ont contribué à attiser l'angoisse d'une plongée en récession de la région.
Les spécialistes du marché énergétique surveillent le secteur secondaire de près, afin d'évaluer la croissance des besoins en or noir.
Les cours ont toutefois bénéficié des avancées affichées par les dirigeants européens dans leur lutte contre la crise de la dette souveraine, après leur série de réunions de fin de semaine à Bruxelles.
Une réponse complète à l'épée de Damoclès suspendue au-dessus de l'Europe devrait être présentée mercredi lors du prochain sommet des décideurs de l'Union Européenne.
Un rapport préliminaire avait également mis en évidence un rebond de l'indice HSBC du secteur manufacturier chinois vers 51.1, son meilleur niveau en cinq mois, progressant pour la preière fois en quatre mois, et encourageant des nouvelles prise de position.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.49% pour grimper à 110.09 USD du baril dans le même temps, soit 22.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les observateurs surveillaient de près l'évolution de la situation libyenne après la mort vendredi de Mouammar Kadhafi, l'ex homme fort du pays, afin de savoir quand la production nationale pourrait rejoindre la normale.
Le pays extrayait 1.6 millions de barils quotidiens avant que n'éclate la guerre civile, mais les troubles ont mis fin à presque toutes les exportations.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 87.72 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant tout de même 0.37%.
Ils avaient auparavant culminé à 88.64 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 1.59%.
Des résultats prélinaires montrant ce matin que l'activité manufacturière de la zone euro avait glissé en obtobre à son plus bas niveau en 27 mois les avait placés sur la sellette.
D'autres indiquant qu'il en avait été de même pour l'Allemagne ont contribué à attiser l'angoisse d'une plongée en récession de la région.
Les spécialistes du marché énergétique surveillent le secteur secondaire de près, afin d'évaluer la croissance des besoins en or noir.
Les cours ont toutefois bénéficié des avancées affichées par les dirigeants européens dans leur lutte contre la crise de la dette souveraine, après leur série de réunions de fin de semaine à Bruxelles.
Une réponse complète à l'épée de Damoclès suspendue au-dessus de l'Europe devrait être présentée mercredi lors du prochain sommet des décideurs de l'Union Européenne.
Un rapport préliminaire avait également mis en évidence un rebond de l'indice HSBC du secteur manufacturier chinois vers 51.1, son meilleur niveau en cinq mois, progressant pour la preière fois en quatre mois, et encourageant des nouvelles prise de position.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.49% pour grimper à 110.09 USD du baril dans le même temps, soit 22.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les observateurs surveillaient de près l'évolution de la situation libyenne après la mort vendredi de Mouammar Kadhafi, l'ex homme fort du pays, afin de savoir quand la production nationale pourrait rejoindre la normale.
Le pays extrayait 1.6 millions de barils quotidiens avant que n'éclate la guerre civile, mais les troubles ont mis fin à presque toutes les exportations.