Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'attention demeurant concentrée sur l'évolution de la situation dans la zone euro, en raison des craintes découlant de la crise du surendettement régional.
En première partie de séance européenne, il a cependant fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.14% pour grimper à 1.2528.
Il avait pourtant auparavant été montré que la confiance dans les affaires allemandes avait subi en juillet une diminution jusqu'à son pire niveau depuis juin 2010.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son baromètre de l'humeur des entreprises avait reculé de 0.9 points pour se retrouver à 102.3 après ajustement saisonnier pour août, au lieu des 103.2 de juillet, dont l'évaluation préliminaire à 103.3 a dû être revue vbers le bas.
Les experts espéraient pourtant que ce revers ne dépasserait pas les 0.6 points pour le mener à 102.6 pour la période considérée.
La prudence restait de mise après que la chancelière allemande Angela Merkel ait ravivé les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro en rejetant la demande d'un prolongement du programme de réforme de la Grèce.
Elle a en effet déclaré suite à ses négociations de vendredi avec son homologue grec Antonis Samaras que le pays de ce dernier devait faire la preuve de sa capacité à mettre en place les mesures d'austérité adoptées sous la pression des bailleurs de fonds internationaux, tout en rappelant cependant que son maintien au sein de la zone euro était préférable.
Un discours crucial de Jörg Asmussen, décideur éminent de la Banque Centrale Européenne, était également attendu pour cet après-midi.
Le billet vert a également cédé qulques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.à8% pour se hisser à 1.5824.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.05% pour se retrouver à 78.69, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.12% pour tomber à 0.9587.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.19% pour aller vers 0.9903, l'AUD/USD laiissant échapper 0.05% pour descendre à 1.0397 et le NZD/USD engrangeant 0.06% pour culminer à 0.8116.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 81.55.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.
En première partie de séance européenne, il a cependant fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.14% pour grimper à 1.2528.
Il avait pourtant auparavant été montré que la confiance dans les affaires allemandes avait subi en juillet une diminution jusqu'à son pire niveau depuis juin 2010.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son baromètre de l'humeur des entreprises avait reculé de 0.9 points pour se retrouver à 102.3 après ajustement saisonnier pour août, au lieu des 103.2 de juillet, dont l'évaluation préliminaire à 103.3 a dû être revue vbers le bas.
Les experts espéraient pourtant que ce revers ne dépasserait pas les 0.6 points pour le mener à 102.6 pour la période considérée.
La prudence restait de mise après que la chancelière allemande Angela Merkel ait ravivé les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro en rejetant la demande d'un prolongement du programme de réforme de la Grèce.
Elle a en effet déclaré suite à ses négociations de vendredi avec son homologue grec Antonis Samaras que le pays de ce dernier devait faire la preuve de sa capacité à mettre en place les mesures d'austérité adoptées sous la pression des bailleurs de fonds internationaux, tout en rappelant cependant que son maintien au sein de la zone euro était préférable.
Un discours crucial de Jörg Asmussen, décideur éminent de la Banque Centrale Européenne, était également attendu pour cet après-midi.
Le billet vert a également cédé qulques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.à8% pour se hisser à 1.5824.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.05% pour se retrouver à 78.69, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.12% pour tomber à 0.9587.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.19% pour aller vers 0.9903, l'AUD/USD laiissant échapper 0.05% pour descendre à 1.0397 et le NZD/USD engrangeant 0.06% pour culminer à 0.8116.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 81.55.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.