Investing.com - La livre sterling a compensé une partie de l'écart creusé par le dollar U.S. ce jeudi, s'extrayant d'un creux des quatre dernières journées de cotation après qu'il ait été révélé que les ventes au détail là où elle a cours avaient mieux résisté en août qu'espéré, laissant espérer que l'économie du pays pourrait ne pas être aussi mal en point qu'envisagé.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6164, son cours le plus bas depuis le 14 septembre, jusqu'à 1.61937 en première partie de séance européenne, perdant tout de même 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6142, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6235, son plafond du jour.
Le bureau national des statistiques a donc fait savoir que les ventes auprès des particuliers avaient reculé de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Elles auront ainsi engrangé comme prévu 2.7% annualisés pour la période considérée, contre 2.3% le mois précédent.
Celles des produits de base, excluant les véhicules, ont quand à elles fléchi dans le même temps de 0.3% comme prévu, après avoir stagné en juillet.
La plus forte croissance, en dehors du domaine alimentaire, était à mettre au crédit des magasins d'articles de sport et de jouets.
Ceux-ci précisaient que ces bons résultats avaient découlé de la conjonction de l'écoulement des maillots avec le début de la nouvelle saison et des championnats européens, ainsi qu'avec les jeux olympiques.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait de son côté diffuser en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs pris le dessus contre à l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.4% pour se retrouver à 0.8011.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la zone euro avait légèrement redressé la tête en septembre, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le treizième mois d'affilée, tandis que celle des services se trouvait précipitée à son pire niveau depuis juillet 2009.
L'indice des directeurs des achats industriels est en effet remonté depuis 45.1 vers 46 ajustés saisonnièrement, au lieu de se diriger vers les 44.5 redoutés.
Celui du tertiaire a par contre chuté de 47.2 à 46, alors que les experts espéraient un sursaut à 47.4.
L'étude auprès des directeurs des achats de la France a pour sa part en évidence les pires performances manufacturières en trois ans et demi.
L'indice de ce domaine est en effet tombé de 46 à 42.6 pour septembre, alors que les experts espéraient le voir se hisser à 46.4.
Le tertiaire a quand à lui régressé depuis 49.2 vers 46.1 dans le même temps, pour se retrouver ainsi au plus bas des quatre mois écoulés.
Mais une embellie est venue tirer la monnaie unique hors du gouffre, après qu'il ait été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
L'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne est en effet monté de 44.7 jusqu'à 47.3 pour la même période, alors que les experts redoutaient de le voir glisser à 45.3
Celui du tertiaire est carrément passé de 48.3 à 50.6, son plus haut niveau en quatre mois.
Il avait auparavant été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, demeurant toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Les incertitudes concernant le recours éventuel de l'Espagne à davantage d'aides financières ont également contribué à ternir l'enthousiasme.
Les yeux étaient également rivés sur la mise aux enchères d'obligations décennales du pays de la mi-journée, qui devrait constituer un test critique de l'attractivité de la dette nationale.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6164, son cours le plus bas depuis le 14 septembre, jusqu'à 1.61937 en première partie de séance européenne, perdant tout de même 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6142, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6235, son plafond du jour.
Le bureau national des statistiques a donc fait savoir que les ventes auprès des particuliers avaient reculé de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Elles auront ainsi engrangé comme prévu 2.7% annualisés pour la période considérée, contre 2.3% le mois précédent.
Celles des produits de base, excluant les véhicules, ont quand à elles fléchi dans le même temps de 0.3% comme prévu, après avoir stagné en juillet.
La plus forte croissance, en dehors du domaine alimentaire, était à mettre au crédit des magasins d'articles de sport et de jouets.
Ceux-ci précisaient que ces bons résultats avaient découlé de la conjonction de l'écoulement des maillots avec le début de la nouvelle saison et des championnats européens, ainsi qu'avec les jeux olympiques.
Le gouvernement des Etats-Unis devrait de son côté diffuser en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs pris le dessus contre à l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.4% pour se retrouver à 0.8011.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la zone euro avait légèrement redressé la tête en septembre, mais demeurait cependant en territoire négatif pour le treizième mois d'affilée, tandis que celle des services se trouvait précipitée à son pire niveau depuis juillet 2009.
L'indice des directeurs des achats industriels est en effet remonté depuis 45.1 vers 46 ajustés saisonnièrement, au lieu de se diriger vers les 44.5 redoutés.
Celui du tertiaire a par contre chuté de 47.2 à 46, alors que les experts espéraient un sursaut à 47.4.
L'étude auprès des directeurs des achats de la France a pour sa part en évidence les pires performances manufacturières en trois ans et demi.
L'indice de ce domaine est en effet tombé de 46 à 42.6 pour septembre, alors que les experts espéraient le voir se hisser à 46.4.
Le tertiaire a quand à lui régressé depuis 49.2 vers 46.1 dans le même temps, pour se retrouver ainsi au plus bas des quatre mois écoulés.
Mais une embellie est venue tirer la monnaie unique hors du gouffre, après qu'il ait été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
L'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne est en effet monté de 44.7 jusqu'à 47.3 pour la même période, alors que les experts redoutaient de le voir glisser à 45.3
Celui du tertiaire est carrément passé de 48.3 à 50.6, son plus haut niveau en quatre mois.
Il avait auparavant été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, demeurant toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Les incertitudes concernant le recours éventuel de l'Espagne à davantage d'aides financières ont également contribué à ternir l'enthousiasme.
Les yeux étaient également rivés sur la mise aux enchères d'obligations décennales du pays de la mi-journée, qui devrait constituer un test critique de l'attractivité de la dette nationale.