Investing.com - Les bourses européennes étaient toujours en forme ce jeudi après-midi, le moral revenant après que la Réserve Fédérale ait estimé hier que certains aspects de l'économie américaine se portaient mieux, bien que le spectre de la crise de la dette espagnole flotte toujours.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.3%, le CAC 40 français de 0.29%, et le DAX 30 allemand de 0.53%.
La banque centrale américaine a en effet précisé dans son communiqué de mercredi sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
La prudence restait cependant de mise, à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
La finance étaient cependant moins à la fête, les français BNP Paribas et Société Générale encaissant respectivement 0.15 et 0.48%, imités par la Deutsche Bank allemande avec 1.37%.
Mais la périphérie ne se réjouissait pas, les espagnols BBVA et Banco Santander chutant de 1.24 et 0.5%, l'italien Unicredit s'effondrant de pas moins de 1.71%.
BASF n'est pas trop retombé, conservant 1.82% d'avance après avoir déclaré que ses revenus avant intérêts, impôts et postes ponctuels avaient gonflé de 5.4% pour se situer à 2.07 milliards d'euros, dépassant ainsi la moyenne des projections établie à 1.94 milliards.
La compagnie a aussi confirmé l'avancée de ses objectifs de annuels de bénéfices et de chiffre d'affaires, malgré des prévisions de croissance économique en berne.
Le groupe multinational Unilever, premier fournisseur de produits de grande consommation, s'envolait alors de 3.86% après avoir dépassé les attentes grâce à 5.9% de ventes trimestrielles supplémentaires.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.35%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par certains de leurs homologues, tandis qu'une évaluation préliminaire indiquait que le Royaume-Uni avait réalisé une croissance économique supérieure aux espérances pour le troisième trimestre.
La Royal Bank of Scotland a ainsi engrangé 1.38%, et HSBC Holdings 1.43%, tandis que Barclays et Lloyds Banking n'étaient pas en reste avec 2.12 et 2.52%.
Les matières premières ont également apporté leur pierre à l'édifice, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton empochant 0.46 et 0.43%, le cuivrier Xstrata n'étant pas à négliger avec 0.55%.
Les perspectives des marchés américains avaient elles aussi le sourire: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.69%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.3%, le CAC 40 français de 0.29%, et le DAX 30 allemand de 0.53%.
La banque centrale américaine a en effet précisé dans son communiqué de mercredi sur les taux que l'économie nationale relevait la tête, mais que la reprise de l'emploi demeurait lente et que le chômage était encore élevé.
Elle a ajouté estimer maintenir son taux directeur à court terme aux alentours de zéro jusqu'à la mi-2015.
La prudence restait cependant de mise, à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
La finance étaient cependant moins à la fête, les français BNP Paribas et Société Générale encaissant respectivement 0.15 et 0.48%, imités par la Deutsche Bank allemande avec 1.37%.
Mais la périphérie ne se réjouissait pas, les espagnols BBVA et Banco Santander chutant de 1.24 et 0.5%, l'italien Unicredit s'effondrant de pas moins de 1.71%.
BASF n'est pas trop retombé, conservant 1.82% d'avance après avoir déclaré que ses revenus avant intérêts, impôts et postes ponctuels avaient gonflé de 5.4% pour se situer à 2.07 milliards d'euros, dépassant ainsi la moyenne des projections établie à 1.94 milliards.
La compagnie a aussi confirmé l'avancée de ses objectifs de annuels de bénéfices et de chiffre d'affaires, malgré des prévisions de croissance économique en berne.
Le groupe multinational Unilever, premier fournisseur de produits de grande consommation, s'envolait alors de 3.86% après avoir dépassé les attentes grâce à 5.9% de ventes trimestrielles supplémentaires.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.35%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par certains de leurs homologues, tandis qu'une évaluation préliminaire indiquait que le Royaume-Uni avait réalisé une croissance économique supérieure aux espérances pour le troisième trimestre.
La Royal Bank of Scotland a ainsi engrangé 1.38%, et HSBC Holdings 1.43%, tandis que Barclays et Lloyds Banking n'étaient pas en reste avec 2.12 et 2.52%.
Les matières premières ont également apporté leur pierre à l'édifice, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton empochant 0.46 et 0.43%, le cuivrier Xstrata n'étant pas à négliger avec 0.55%.
Les perspectives des marchés américains avaient elles aussi le sourire: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.69%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume officiel des commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes d'habitations en cours et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.