Investing.com - Les options sur l'or étaient en net retrait ce lundi, le dollar U.S. rebondissant face à ses concurrents les plus importants après que le Japon soit intervenu pour juguler la flambée de sa monnaie pour la troisième fois de l'année.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 715.85 USD de l'once en fin de séance asiatique, laissant échapper 1.8%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 706.85 USD, leur pire cours depuis le 26 octobre, avec une dégringolade de 2.1%.
Les autorités nippones ont en effet déclenché en début de matinée une action destinée à mattre fin à la surévaluation du yen après que le billet vert ait établi un nouveau pire niveau historique 75.56 JPY sur les premiers échanges.
Jun Azumi, le ministre des finances du pays, a déclaré que Tokyo avait agi unilatéralement et qu'elle continuerait à le faire jusqu'à être satisfaite des résultats, précisant avoir pris cette décision en raison de "mouvements spéculatifs" de sa devise ne reflétant pas les réalités économiques nationales.
L'étalon américain en a engrangé près de 4% contre le yen, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a bondi de 1.23% de son côté pour se situer à 76.12.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant à coûter davantage pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Quelques ventes d'opportunité ont également contribué à tirer les prix vers le bas, l'envol de 6.8% de la semaine dernière ayant poussé certains investisseurs à liquider leurs positions afin d'assurer l'encaissement de leurs plus-values.
L'angoisse de la crise de la dette souveraine de la zone euro devrait toutefois contribuer à empêcher toute plongée trop importante, après que l'agence de notation Fitch ait affirmé vendredi que la dévaluation des dettes grecques serait le signe d'un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un nouveau sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs perdu 2.27% pour chuter à 34.48 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dégringolé de 2.67% pour se retrouver à 3.687 USD la livre dans le même temps.
Le Crédit Agricole, une des principales banques françaises, avait pour sa part déclaré que les petits lingots et pièces d'argent avaient constitué la majeure partie de ventes de la saison des festivals indienne, les investisseurs le préférant à l'or en raison de son prix plus modique, le pays demeurant le premier demandeur de métaux précieux au monde.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 715.85 USD de l'once en fin de séance asiatique, laissant échapper 1.8%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 706.85 USD, leur pire cours depuis le 26 octobre, avec une dégringolade de 2.1%.
Les autorités nippones ont en effet déclenché en début de matinée une action destinée à mattre fin à la surévaluation du yen après que le billet vert ait établi un nouveau pire niveau historique 75.56 JPY sur les premiers échanges.
Jun Azumi, le ministre des finances du pays, a déclaré que Tokyo avait agi unilatéralement et qu'elle continuerait à le faire jusqu'à être satisfaite des résultats, précisant avoir pris cette décision en raison de "mouvements spéculatifs" de sa devise ne reflétant pas les réalités économiques nationales.
L'étalon américain en a engrangé près de 4% contre le yen, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a bondi de 1.23% de son côté pour se situer à 76.12.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant à coûter davantage pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Quelques ventes d'opportunité ont également contribué à tirer les prix vers le bas, l'envol de 6.8% de la semaine dernière ayant poussé certains investisseurs à liquider leurs positions afin d'assurer l'encaissement de leurs plus-values.
L'angoisse de la crise de la dette souveraine de la zone euro devrait toutefois contribuer à empêcher toute plongée trop importante, après que l'agence de notation Fitch ait affirmé vendredi que la dévaluation des dettes grecques serait le signe d'un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un nouveau sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs perdu 2.27% pour chuter à 34.48 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dégringolé de 2.67% pour se retrouver à 3.687 USD la livre dans le même temps.
Le Crédit Agricole, une des principales banques françaises, avait pour sa part déclaré que les petits lingots et pièces d'argent avaient constitué la majeure partie de ventes de la saison des festivals indienne, les investisseurs le préférant à l'or en raison de son prix plus modique, le pays demeurant le premier demandeur de métaux précieux au monde.