Investing.com - Les options sur l'or ont poursuivi leur rebond pour la troisième journée d'affilée ce mercredi, s'approchant de leur plus haut niveau en presque deux semaines, se trouvant tirées vers le haut par la conjonction du renforcement des tensions géopolitiques entre l'Iran et l'Occident, ainsi que par l'attente de nouvelles injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 613.85 USD de l'once en ouverture de séance européenne, engrangeant 0.83%.
Ils avaient précédement culminé à 1 614.65 USD, leur meilleur cours depuis le 22 décembre, avec 0.9% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 572.65 USD, son plancher de la veille, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Leur attrait en tant que valeur refuge s'est trouvé exalté par l'ayatollah Salehi, commandant des forces armées iraniennes, avertissant les Etats-Unis de ne pas faire passer à nouveau un de leurs porte-avions dans le Golfe Persique.
La nouvelle selon laquelle l'Iran aurait produit sa première barre de combustible nucléaire avait déjà augmenté l'éclat des valeurs sûres, les barres de combustibles contenant des pastilles d'uranium enrichi servant à alimenter les centrales nucléaires.
Le pic du pétrole au-deessus des 103 USD sur le marché aux matières premières de New York, un cours à peine inférieur au meilleur des huit dernières semaines, a également contribué à ce mouvement.
Les hausses du pétrole ont tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, augmentant son attrait en tant que garde-fou contre l'infation pétrolière.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis avait quand à elle indiqué dans le compte-rendu de sa réunion d'orientation politique de novembre: "Les conditions économiques actuelles et à venir pourraient nécessiter de nouveaux ajustements politiques." alimentant l'attente de nouveaux assouplissements monétaires.
Le métal précieux avait connu hier sa plus forte remontée en dix semaines, les résultats économiques positifs américains, allemands et chinois ayant renouvelé l'optimisme concernant les perspectives économiques mondiales et alimenté une résurgence des matières premières.
La banque d'affaires Merrill Lynch avait déclaré ce jour-là s'attendre à le voir s'établir à une moyenne de 1 850 USD de l'once en 2012, soit 17.6% de plus qu'au comptant en 2011.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs laissé échapper 0.1% pour glisser à 29.55 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont plongé de 0.95% pour sse replier à 3.495 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 613.85 USD de l'once en ouverture de séance européenne, engrangeant 0.83%.
Ils avaient précédement culminé à 1 614.65 USD, leur meilleur cours depuis le 22 décembre, avec 0.9% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 572.65 USD, son plancher de la veille, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Leur attrait en tant que valeur refuge s'est trouvé exalté par l'ayatollah Salehi, commandant des forces armées iraniennes, avertissant les Etats-Unis de ne pas faire passer à nouveau un de leurs porte-avions dans le Golfe Persique.
La nouvelle selon laquelle l'Iran aurait produit sa première barre de combustible nucléaire avait déjà augmenté l'éclat des valeurs sûres, les barres de combustibles contenant des pastilles d'uranium enrichi servant à alimenter les centrales nucléaires.
Le pic du pétrole au-deessus des 103 USD sur le marché aux matières premières de New York, un cours à peine inférieur au meilleur des huit dernières semaines, a également contribué à ce mouvement.
Les hausses du pétrole ont tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, augmentant son attrait en tant que garde-fou contre l'infation pétrolière.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis avait quand à elle indiqué dans le compte-rendu de sa réunion d'orientation politique de novembre: "Les conditions économiques actuelles et à venir pourraient nécessiter de nouveaux ajustements politiques." alimentant l'attente de nouveaux assouplissements monétaires.
Le métal précieux avait connu hier sa plus forte remontée en dix semaines, les résultats économiques positifs américains, allemands et chinois ayant renouvelé l'optimisme concernant les perspectives économiques mondiales et alimenté une résurgence des matières premières.
La banque d'affaires Merrill Lynch avait déclaré ce jour-là s'attendre à le voir s'établir à une moyenne de 1 850 USD de l'once en 2012, soit 17.6% de plus qu'au comptant en 2011.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs laissé échapper 0.1% pour glisser à 29.55 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont plongé de 0.95% pour sse replier à 3.495 USD la livre dans le même temps.