Investing.com - Le dollar U.S. a poursuivi sa dégringolade face au franc suisse ce mardi, le moral des investisseurs ayant été renforcé par l'amélioration des perspectives économiques américaines, ceux-ci demeurant toutefois nerveux en raison de la persistance des craintes liées à la crise de la dette en zone euro.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9466 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis jeudi dernier, puis s'est stabilisée vers 0.948, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9313, son plancher du 4 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.9594, son plafond des 11 derniers mois datant de lundi.
L'atmosphère s'est trouvée éclaircie par un lancement en fanfare de la saison des annonces de résultats, tirant les marchés boursiers et les espoirs concernant l'éconoomie des Etats-Unis vers le haut.
Mais le problème du surendettement de l'Europe restait au centre des débats, une rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée et porter sur le plan de sauvetage de la Grèce.
La devise helvète s'était brièvement renforcée hier contre le billet vert, après que Phillip Hildebrand ait démissionné de son poste de président de la Banque Nationale Suisse, semant le doute sur la capacité de celle-ci à maintenir son taux plancher de 1.2 avec l'euro.
Il est toutefois rapidement retombé après que la banque centrale de la confédération ait renouvelé son engagement à le maintenir avec "la plus farouche détermination".
Son président a dû abandonner son poste suite au scandale des investissements monétaires effectués par sa femme quelques semaines à peine avant l'intervention destinée à juguler la flambée du swissy.
Celui-ci n'a presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour se hisser à 1.2125.
Les acteurs des marchés surveillaient de près les coûts des emprunts des pays européens en difficulté, comme l'Espagne et l'Italie, dans l'expectative des ventes aux enchères de leurs dettes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part propulsé vers 7.18%, dépassant ainsi le seuil des 7% généralement considéré comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se limitaient à 5.6%.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9466 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis jeudi dernier, puis s'est stabilisée vers 0.948, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9313, son plancher du 4 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.9594, son plafond des 11 derniers mois datant de lundi.
L'atmosphère s'est trouvée éclaircie par un lancement en fanfare de la saison des annonces de résultats, tirant les marchés boursiers et les espoirs concernant l'éconoomie des Etats-Unis vers le haut.
Mais le problème du surendettement de l'Europe restait au centre des débats, une rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée et porter sur le plan de sauvetage de la Grèce.
La devise helvète s'était brièvement renforcée hier contre le billet vert, après que Phillip Hildebrand ait démissionné de son poste de président de la Banque Nationale Suisse, semant le doute sur la capacité de celle-ci à maintenir son taux plancher de 1.2 avec l'euro.
Il est toutefois rapidement retombé après que la banque centrale de la confédération ait renouvelé son engagement à le maintenir avec "la plus farouche détermination".
Son président a dû abandonner son poste suite au scandale des investissements monétaires effectués par sa femme quelques semaines à peine avant l'intervention destinée à juguler la flambée du swissy.
Celui-ci n'a presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour se hisser à 1.2125.
Les acteurs des marchés surveillaient de près les coûts des emprunts des pays européens en difficulté, comme l'Espagne et l'Italie, dans l'expectative des ventes aux enchères de leurs dettes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part propulsé vers 7.18%, dépassant ainsi le seuil des 7% généralement considéré comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se limitaient à 5.6%.