Investing.com - Les options sur le brut étaient en légère progression ce jeudi, corrigeant une partie des pertes subies hier, sur fond de signes d'une forte demande des Etats-Unis et de la Chine, tandis que les observateurs continuaient à surveiller l'évolution de la crise de la dette souveraine italienne.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96.81 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 1.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.94 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.25% de progression.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant montré que la Chine avait importé 20.8 millions de tonnes de brut en octobre, soit 4.92 millions de barils quotidiens.
Elles ont augmenté de 26.9% par rapport aux 16.4 millions de tonnes pour la même période de 2010, et 1.7% des 20.45 millions de tonnes du mois précédent.
La Chine reste le deuxième plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié aujourd'hui que les réserves nationales de pétrole brut avaient diminué de 1.4 millions de barils la semaine dernière, alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 500 000 barils sur la période considérée.
Il était aussi indiqué que les stocks d'essence automobile avaient fondu de 2.1 millions de barils, dépassant nettement les 400 000 envisagés, et apaisant ainsi l'angoisse d'un recul des besoins du premier consommateur mondial.
L'aggravation des craintes concernant le problème du surendettement de l'Itanie a toutefois limité tout velléité de flambée des cours, après que les dividendes des obligations à 10 ans italiennes aient dépassé le seuil des 7%, à partir duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont demandé des aides financières internationales.
Ils étaient toutefois retombés à 7.12% ce matin, alors que les rumeurs d'achats de celles-ci par la Banque Centrale Européenne allaient bon train, Rome prévoyant de vendre aujourd'hui aux enchères pour 5 milliards de bons du trésor à un an, ce qui devrait constituer un test crucial de l'appétit des marchés pour ceux-ci.
L'Agence Internationale de l'Energie a pour sa part prévenu mercredi dans une étude qu'il était possible que les prix atteignent les 150 USD à bréve échéance, si les investissements dans les régions pétrolifères du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord devaient diminuer de manière notable.
A propos de ses perspectives sur le marché de l'énergie, elle a précisé: "Si les investissements dans la zone du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord devaient perdre entre 2011 et 2015 un tiers des 100 milliards d'USD nécessaires, les consommateurs pourraient subir une envolée à court tere jusqu'à 150 USD du baril."
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.7% pour grimper à 113.11 USD du baril dans le même temps, réduisant l'écart avec leurs homologues américaines à 16.3 USD.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96.81 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 1.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.94 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.25% de progression.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant montré que la Chine avait importé 20.8 millions de tonnes de brut en octobre, soit 4.92 millions de barils quotidiens.
Elles ont augmenté de 26.9% par rapport aux 16.4 millions de tonnes pour la même période de 2010, et 1.7% des 20.45 millions de tonnes du mois précédent.
La Chine reste le deuxième plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié aujourd'hui que les réserves nationales de pétrole brut avaient diminué de 1.4 millions de barils la semaine dernière, alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir descendre que de 500 000 barils sur la période considérée.
Il était aussi indiqué que les stocks d'essence automobile avaient fondu de 2.1 millions de barils, dépassant nettement les 400 000 envisagés, et apaisant ainsi l'angoisse d'un recul des besoins du premier consommateur mondial.
L'aggravation des craintes concernant le problème du surendettement de l'Itanie a toutefois limité tout velléité de flambée des cours, après que les dividendes des obligations à 10 ans italiennes aient dépassé le seuil des 7%, à partir duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont demandé des aides financières internationales.
Ils étaient toutefois retombés à 7.12% ce matin, alors que les rumeurs d'achats de celles-ci par la Banque Centrale Européenne allaient bon train, Rome prévoyant de vendre aujourd'hui aux enchères pour 5 milliards de bons du trésor à un an, ce qui devrait constituer un test crucial de l'appétit des marchés pour ceux-ci.
L'Agence Internationale de l'Energie a pour sa part prévenu mercredi dans une étude qu'il était possible que les prix atteignent les 150 USD à bréve échéance, si les investissements dans les régions pétrolifères du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord devaient diminuer de manière notable.
A propos de ses perspectives sur le marché de l'énergie, elle a précisé: "Si les investissements dans la zone du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord devaient perdre entre 2011 et 2015 un tiers des 100 milliards d'USD nécessaires, les consommateurs pourraient subir une envolée à court tere jusqu'à 150 USD du baril."
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.7% pour grimper à 113.11 USD du baril dans le même temps, réduisant l'écart avec leurs homologues américaines à 16.3 USD.