La Bourse de Paris a retrouvé le chemin de la hausse, progressant de 1,70% en milieu de session jeudi après des données positives en provenance de l’Allemagne et à l’aube d’un mini-sommet de crise à Strasbourg.
L’indice Ifo du climat des affaires allemand révélait, plus tôt dans la journée, une ascension à 106,6 en novembre, dépassant les attentes de résultat à 105,5. Le mois précédent l’indice Ifo s’était affiché à 106,4.
Le marché restait toutefois dominé par la crise de la dette, alors que le président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et le nouveau Premier ministre italien Mario Monti devaient se réunir à Strasbourg pour une nouvelle réunion consacrée au sauvetage de la zone euro.
Mercredi, le sentiment avait été durement frappé par le faible succès rencontré par la dernière émission obligataire allemande, tandis que la France restait menacée de perdre son Triple A si les dirigeants européens ne parvenaient pas à éviter une contagion de la crise.
La plus forte progression de l’indice parisien a été enregistrée par Alcatel-Lutent qui a bondi de 7,83% après avoir décroché de 15% en deux séances.
Le groupe Vallourec a, lui, grimpé de 7,13%, après que Morgan Stanley a relevé sa recommandation sur l'entreprise de “neutre” à “à l’achat”.
Par ailleurs, es valeurs cycliques étaient également en forte hausse : Peugeot a pris 5,26%, Renault 4,82% et Alstom a bondi de 3,71.
A l’image de leurs homologues européennes, les valeurs bancaires françaises ont gagné du terrain, BNP Paribas en tête avec une progression de 4,29%. Le Crédit Agricole a grimpé de 2,61% et la Société Générale a avancé de 3,12%.
Egalement en tête, Airbus a gagné 3,29%, même si la compagnie annonçait jeudi un recul probable du nombre de prises de commandes en 2012 par rapport à 2011, l’année de succès de l’A320neo. "Il n'y aura pas le même genre de feu d'artifice de prises de commandes en 2012 comme il y a eu cette année", a déclaré le président exécutif Thomas Enders, dans un entretien.
Les valeurs sensibles étaient, par ailleurs, en net recul : Essilor International a perdu 0,77%, Sanofi-Aventis de 0,81% et Pernot Ricard a glissé de 0,37%.
Ailleurs, les indices européens étaient largement en hausse. L'EURO STOXX 50 progressait de 1,35%, le DAX 30 allemand de 1,57% tandis que le FTSE britannique avançait de 0.48%.
Aux Etats-Unis, les marchés étaient fermés pour la fête de Thanksgiving.
L’indice Ifo du climat des affaires allemand révélait, plus tôt dans la journée, une ascension à 106,6 en novembre, dépassant les attentes de résultat à 105,5. Le mois précédent l’indice Ifo s’était affiché à 106,4.
Le marché restait toutefois dominé par la crise de la dette, alors que le président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et le nouveau Premier ministre italien Mario Monti devaient se réunir à Strasbourg pour une nouvelle réunion consacrée au sauvetage de la zone euro.
Mercredi, le sentiment avait été durement frappé par le faible succès rencontré par la dernière émission obligataire allemande, tandis que la France restait menacée de perdre son Triple A si les dirigeants européens ne parvenaient pas à éviter une contagion de la crise.
La plus forte progression de l’indice parisien a été enregistrée par Alcatel-Lutent qui a bondi de 7,83% après avoir décroché de 15% en deux séances.
Le groupe Vallourec a, lui, grimpé de 7,13%, après que Morgan Stanley a relevé sa recommandation sur l'entreprise de “neutre” à “à l’achat”.
Par ailleurs, es valeurs cycliques étaient également en forte hausse : Peugeot a pris 5,26%, Renault 4,82% et Alstom a bondi de 3,71.
A l’image de leurs homologues européennes, les valeurs bancaires françaises ont gagné du terrain, BNP Paribas en tête avec une progression de 4,29%. Le Crédit Agricole a grimpé de 2,61% et la Société Générale a avancé de 3,12%.
Egalement en tête, Airbus a gagné 3,29%, même si la compagnie annonçait jeudi un recul probable du nombre de prises de commandes en 2012 par rapport à 2011, l’année de succès de l’A320neo. "Il n'y aura pas le même genre de feu d'artifice de prises de commandes en 2012 comme il y a eu cette année", a déclaré le président exécutif Thomas Enders, dans un entretien.
Les valeurs sensibles étaient, par ailleurs, en net recul : Essilor International a perdu 0,77%, Sanofi-Aventis de 0,81% et Pernot Ricard a glissé de 0,37%.
Ailleurs, les indices européens étaient largement en hausse. L'EURO STOXX 50 progressait de 1,35%, le DAX 30 allemand de 1,57% tandis que le FTSE britannique avançait de 0.48%.
Aux Etats-Unis, les marchés étaient fermés pour la fête de Thanksgiving.