Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme ce lundi, les résultats économiques japonais supérieurs aux attentes et les bons chiffres des ventes U.S. contribuant à apaiser les craintes concernant la relance mondiale et augmentant la demande pour les valeurs les plus risquées.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 86.02 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.38%.
Ils avaient auparavant culminé à 86.12 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.45% de progression.
Les évaluations préliminaires révélées auparavant avaient en effet montré ce matin que l'économie japonaise s'était moins dégradée au second trimestre que prévu, laissant à penser que le pays se remettait plus vite qu'espéré des conséquences catastrophiques du tremblement de terre de mars.
Le produit intérieur brut du pays aurait donc décliné de 0.3%, soit 1.3% annualisés, alors que les experts avaient peur qu'elle ne recule de 0.9% sur la période considérée, soit 2.5% à l'année.
Les informations gouvernementales dévoilées vendredi dernier avaient d'autre part indiqué que les ventes au détail américaines avaient gagné 0.5% en juillet, leur meilleure performance en quatre mois, rassurant les observateurs qui avaient des doutes sur le rythme de la reprise économique américaine.
Le Japon n'est autre que le troisième consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis et la Chine.
Les cours ont également trouvé du soutien du côté de l'indice dollar, qui reflète les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.23% de son côté pour se situer à 74.53, sa valeur le plus basse depuis le 11 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'attention des observateurs était également tournée vers la rencontre à venir mardi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro et de la gestion de l'augmentation des risques de contagion en découlant.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0.62% pour grimper à 108.28 USD du baril dans le même temps, soit 22.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 86.02 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.38%.
Ils avaient auparavant culminé à 86.12 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.45% de progression.
Les évaluations préliminaires révélées auparavant avaient en effet montré ce matin que l'économie japonaise s'était moins dégradée au second trimestre que prévu, laissant à penser que le pays se remettait plus vite qu'espéré des conséquences catastrophiques du tremblement de terre de mars.
Le produit intérieur brut du pays aurait donc décliné de 0.3%, soit 1.3% annualisés, alors que les experts avaient peur qu'elle ne recule de 0.9% sur la période considérée, soit 2.5% à l'année.
Les informations gouvernementales dévoilées vendredi dernier avaient d'autre part indiqué que les ventes au détail américaines avaient gagné 0.5% en juillet, leur meilleure performance en quatre mois, rassurant les observateurs qui avaient des doutes sur le rythme de la reprise économique américaine.
Le Japon n'est autre que le troisième consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis et la Chine.
Les cours ont également trouvé du soutien du côté de l'indice dollar, qui reflète les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.23% de son côté pour se situer à 74.53, sa valeur le plus basse depuis le 11 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'attention des observateurs était également tournée vers la rencontre à venir mardi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro et de la gestion de l'augmentation des risques de contagion en découlant.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0.62% pour grimper à 108.28 USD du baril dans le même temps, soit 22.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.