Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme lors des rares transactions de ce jeudi, hésitant entre légers gains et petites pertes tandis que les observateurs attendaient le résultat ddes mises aux enchères très attendues de dettes italiennes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 99.55 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.18%.
Ils avaient auparavant ooscillé entre 99.16 USD, leur cours le plus bas du jour, et 99.86, le plus élevé.
Les volumes des transactions devraient demeurer faibles à l'approche des congés de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
Cette vente constituera le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la zone euro après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
Le taux des emprunts décennaux italiens est pour sa part remonté à 7.02%, se situant juste au-dessus du seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Le rapport du gouvernement pourrait montrer, avec un jour de retard en raison des congés de noël, une diminution de 2.5 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en avoir perdu 500 000.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont révélé après la clôture des marchés d'hier un bond de 9.6 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, prenant à revers les spécialistes estimant qu'ils allaient en laisser échapper 1.6 millions.
Les cours ont plongé de près de 2% hier, constituaant leur plus net recul en près de deux semaines, sur fond de large renforcement du billet vert et d'apaisement des angoisses de perturbation des livraisons iraniennes, se combinant pour tirer les prix vers le bas.
Un haut représentant saoudien a alors en effet affirmé que les pays du Golfe étaient prêts à compenser toute disparition possible du pétrole iranien sur le marché mondial.
Cette intervention faisait suite à l'avertissement du premier vice-président iranien selon lequel le transport de pétrole à travers le Détroit d'Ormuz serait interrompu en cas de sanctions portant sur ses exportations d'or noir imposées par l'étranger en raison de son programme nucléaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 0.35% pour grimper à 107.94 USD du baril dans le même temps, soit 8.39 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 99.55 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.18%.
Ils avaient auparavant ooscillé entre 99.16 USD, leur cours le plus bas du jour, et 99.86, le plus élevé.
Les volumes des transactions devraient demeurer faibles à l'approche des congés de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
Cette vente constituera le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la zone euro après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
Le taux des emprunts décennaux italiens est pour sa part remonté à 7.02%, se situant juste au-dessus du seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Le rapport du gouvernement pourrait montrer, avec un jour de retard en raison des congés de noël, une diminution de 2.5 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en avoir perdu 500 000.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont révélé après la clôture des marchés d'hier un bond de 9.6 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, prenant à revers les spécialistes estimant qu'ils allaient en laisser échapper 1.6 millions.
Les cours ont plongé de près de 2% hier, constituaant leur plus net recul en près de deux semaines, sur fond de large renforcement du billet vert et d'apaisement des angoisses de perturbation des livraisons iraniennes, se combinant pour tirer les prix vers le bas.
Un haut représentant saoudien a alors en effet affirmé que les pays du Golfe étaient prêts à compenser toute disparition possible du pétrole iranien sur le marché mondial.
Cette intervention faisait suite à l'avertissement du premier vice-président iranien selon lequel le transport de pétrole à travers le Détroit d'Ormuz serait interrompu en cas de sanctions portant sur ses exportations d'or noir imposées par l'étranger en raison de son programme nucléaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 0.35% pour grimper à 107.94 USD du baril dans le même temps, soit 8.39 USD de mieux que leurs homologues américaines.