Investing.com - Les options sur le brut ont repris la main ce mercredi matin, la rencontre des l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole en point de mire, de même que le conseil d'orientation de la Réserve Fédérale cet après-midi.
Les opérateurs gardaient aussi un oeil sur l'état crucial des réserves américaines avec la publication imminente d'une étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis à ce sujet.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.14 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 85.64 USD, leur cours le plus bas du jour, et 86.19 USD, leur plus élevé.
Les représentants des membres de l'OPEP se réuniront en effet aujourd'hui à Vienne afin de discuter de leurs quotas de production, lesquels devraient probablement demeurer stables à 30 millions de barils par jour.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre, constituant la troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
L'étalon américain se trouvait du coup sur la défensive, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, se situant à 80.22.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une diminution de 2.34 millions de barils pour le brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir accumulé 2.2 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition de 4.27 millions de barils pour la période considérée, ainsi que l'ajout de 2.76 millions de barils aux secondes.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal pesant sur le pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, tirant le reste du monde vers le bas.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 0.5% pour grimper à 107.24 USD du baril dans le même temps, soit 21.1 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les opérateurs gardaient aussi un oeil sur l'état crucial des réserves américaines avec la publication imminente d'une étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis à ce sujet.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.14 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 85.64 USD, leur cours le plus bas du jour, et 86.19 USD, leur plus élevé.
Les représentants des membres de l'OPEP se réuniront en effet aujourd'hui à Vienne afin de discuter de leurs quotas de production, lesquels devraient probablement demeurer stables à 30 millions de barils par jour.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre, constituant la troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
L'étalon américain se trouvait du coup sur la défensive, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, se situant à 80.22.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une diminution de 2.34 millions de barils pour le brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir accumulé 2.2 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition de 4.27 millions de barils pour la période considérée, ainsi que l'ajout de 2.76 millions de barils aux secondes.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal pesant sur le pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, tirant le reste du monde vers le bas.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 0.5% pour grimper à 107.24 USD du baril dans le même temps, soit 21.1 USD de mieux que leurs homologues américaines.