Investing.com - Les options sur le brut étaient à la fête pour la cinquième journée consécutive ce mercredi, restant proches de leur pic trimestriel d'hier, les rumeurs d'un assouplissement à court terme de la politique monétaire chinoise apaisant les craintes concernant la réunion de l'Union Européenne prévue aujourd'hui.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93.44 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.87%.
Ils avaient auparavant culminé à 93.89 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 1.1%, après avoir bondi hier jusqu'à 94.57 USD, leur meilleur niveau depuis le 2 août.
Wen Jiabao, premier ministre chinois, a déclaré en début de journée que la politique économie "connaîtrait des ajustements en cas de besoin", ajoutant que "les responsables y procèderaient au moment opportun et avec la vigueur appropriée".
Ces propos ont conforté l'hypothèse d'un ramollissement monétaire de Pékin, afin de soutenir la croissance économique du second demandeur mondial.
Les dirigeants européens devaient quand à eux se réunir pour la seconde fois en quatre jours ce mercredi dans l'espoir de trouver un accord concernant l'augmentation de l'importance du fonds de secours de la région, la recapitalisation de ses banques et la restructuration de la dette souveraine grecque.
Les cours ont également été tirés vers le haut par le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis, annonçant que la tempête Rina s'était renforcée pour atteindre la catégorie trois, avec des vents de près de 180 kilomètres par heure, et se dirigeait vers la péninsule méxicaine du Yucatan, où se situent nombre de plate-formes pétrolières importantes.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique dans le Golfe du Mexique avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires officielles concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Les premières pourraient montrer une augmentation de 800 000 barils pour la semaine passée, tandis que celles d'essence auraient diminué de 1 million de barils.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier après la clôture des transactions avaient quand à eux évalué la progression des stocks de brut à 2.71 millions de barils sur la même période, alors que ceux d'essence en auraient quand à eux engrangé 150 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont cédé 0.35% pour descendre à 110.53 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 17.14 usd du baril, sa plus faible valeur depuis début juillet.
Les contrats Brent s'étaient retrouvés sur la sellette après qu'Ali Tarhouni, ministre par intérim du pétrole de la Libye, ait déclaré que la production du pays était reonttée à 500 000 barils par jour, suite à la reprise de l'exploitation du champ de Sharara.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93.44 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.87%.
Ils avaient auparavant culminé à 93.89 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 1.1%, après avoir bondi hier jusqu'à 94.57 USD, leur meilleur niveau depuis le 2 août.
Wen Jiabao, premier ministre chinois, a déclaré en début de journée que la politique économie "connaîtrait des ajustements en cas de besoin", ajoutant que "les responsables y procèderaient au moment opportun et avec la vigueur appropriée".
Ces propos ont conforté l'hypothèse d'un ramollissement monétaire de Pékin, afin de soutenir la croissance économique du second demandeur mondial.
Les dirigeants européens devaient quand à eux se réunir pour la seconde fois en quatre jours ce mercredi dans l'espoir de trouver un accord concernant l'augmentation de l'importance du fonds de secours de la région, la recapitalisation de ses banques et la restructuration de la dette souveraine grecque.
Les cours ont également été tirés vers le haut par le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis, annonçant que la tempête Rina s'était renforcée pour atteindre la catégorie trois, avec des vents de près de 180 kilomètres par heure, et se dirigeait vers la péninsule méxicaine du Yucatan, où se situent nombre de plate-formes pétrolières importantes.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique dans le Golfe du Mexique avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires officielles concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Les premières pourraient montrer une augmentation de 800 000 barils pour la semaine passée, tandis que celles d'essence auraient diminué de 1 million de barils.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés hier après la clôture des transactions avaient quand à eux évalué la progression des stocks de brut à 2.71 millions de barils sur la même période, alors que ceux d'essence en auraient quand à eux engrangé 150 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont cédé 0.35% pour descendre à 110.53 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 17.14 usd du baril, sa plus faible valeur depuis début juillet.
Les contrats Brent s'étaient retrouvés sur la sellette après qu'Ali Tarhouni, ministre par intérim du pétrole de la Libye, ait déclaré que la production du pays était reonttée à 500 000 barils par jour, suite à la reprise de l'exploitation du champ de Sharara.