Investing.com - Les options sur le brut ont connu un regain de forme ce jeudi, la crainte d'une perturbation des approvisionnements provenant d'Iran et du Nigeria les tirant vers le haut à l'approche de la décision sur les taux de la Banque Centrale Européenne et des enchères de dettes espagnoles d'aujourd'hui.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.42 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.67 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.75% de progression.
Les acteurs du marché pétrolier continuaient à surveiller l'évolution des tensions entre l'Iran et l'Occident après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait affirmé en début de journée que le pays du soleil levant réduirait régulièrement ses importations de pétrole provenant de la république islamique en soutien aux sanctions imposées par les Etats-Unis à Téhéran.
Cette information a été révélée aprrès une rencontre du début de matinée à Tokyo avec Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis.
Washington a infligé un durcissement de ses sanctions envers l'Iran le mois dernier, et l'Union Européenne devrait se rencontrer le 23 janvier afin de décider de la mise en place ou non d'un embargo sur son or noir.
Les prix ont encore progressé après que le syndicat pétrolier Pengassan, le plus important du pays, ait déclaaré être prêt à bloquer la production si le gouvernement ne réinstaurait pas une aide au carburant.
L'Iran reste le quatrième extracteur d'or noir du monde avec près de 5% de la production mondiale en 2010, tandis que le Nigeria fournit environ 2 millinos de barils quotidiens et se place en tête des producteurs africains.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Ils attendaient aussi les émissions imminentes de dettes d'Espagne de d'Italie, dans ce qui sera considéré comme un test crucial de l'appétit des investisseurs pour les dettes de la zone euro.
L'Espagne a en effet prévu d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour févriier ont gagné 0.82% pour grimper à 113.16 USD du baril dans le même temps, soit 11.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.42 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.67 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.75% de progression.
Les acteurs du marché pétrolier continuaient à surveiller l'évolution des tensions entre l'Iran et l'Occident après que Jun Azumi, le ministre des finances japonais, ait affirmé en début de journée que le pays du soleil levant réduirait régulièrement ses importations de pétrole provenant de la république islamique en soutien aux sanctions imposées par les Etats-Unis à Téhéran.
Cette information a été révélée aprrès une rencontre du début de matinée à Tokyo avec Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis.
Washington a infligé un durcissement de ses sanctions envers l'Iran le mois dernier, et l'Union Européenne devrait se rencontrer le 23 janvier afin de décider de la mise en place ou non d'un embargo sur son or noir.
Les prix ont encore progressé après que le syndicat pétrolier Pengassan, le plus important du pays, ait déclaaré être prêt à bloquer la production si le gouvernement ne réinstaurait pas une aide au carburant.
L'Iran reste le quatrième extracteur d'or noir du monde avec près de 5% de la production mondiale en 2010, tandis que le Nigeria fournit environ 2 millinos de barils quotidiens et se place en tête des producteurs africains.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Ils attendaient aussi les émissions imminentes de dettes d'Espagne de d'Italie, dans ce qui sera considéré comme un test crucial de l'appétit des investisseurs pour les dettes de la zone euro.
L'Espagne a en effet prévu d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour févriier ont gagné 0.82% pour grimper à 113.16 USD du baril dans le même temps, soit 11.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.