Investing.com - Les options sur le brut ont limité les dégâts ce mercredi matin, à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne et de la diffusion d'informations économiques chinoises, et à l'approche de l'inventaire des réserves américaines de cet après-midi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 93.12 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.05%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 92.86 USD, leur cours le plus bas du jour, et 93.33 USD, leur meilleur, après avoir atteint 93.82 USD le 2 janvier, leur valeur la plus élevée depuis le 19 septembre.
Les investisseurs estiment en effet urgent d'attendre de savoir si l'autorité monétaire européenne modifiera demain ou non son taux directeur, la première hypothèse semblant peu probable dans l'immédiat, mais certains estiment possible qu'elle se réalise en cours d'année.
les observateurs retenaient aussi leur souffle dans l'expectative d'une avalanche d'informations chinoises, concernant notamment le commerce extérieur et les exportations pour demain et l'inflation vendredi.
La nervosité restait aussi largement palpable sur fond de tractations visant à relever la limite d'endettement maximal des Etats-Unis.
La semaine passée avait été leur quatrième avancée d'affilée pour l'or noir, avec une flambée d'environ 2.5%, la plus importante en près de trois mois, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont laissé échapper 0.1% pour glisser à 111.88 USD du baril dans le même temps, soit 18.76 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 93.12 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.05%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 92.86 USD, leur cours le plus bas du jour, et 93.33 USD, leur meilleur, après avoir atteint 93.82 USD le 2 janvier, leur valeur la plus élevée depuis le 19 septembre.
Les investisseurs estiment en effet urgent d'attendre de savoir si l'autorité monétaire européenne modifiera demain ou non son taux directeur, la première hypothèse semblant peu probable dans l'immédiat, mais certains estiment possible qu'elle se réalise en cours d'année.
les observateurs retenaient aussi leur souffle dans l'expectative d'une avalanche d'informations chinoises, concernant notamment le commerce extérieur et les exportations pour demain et l'inflation vendredi.
La nervosité restait aussi largement palpable sur fond de tractations visant à relever la limite d'endettement maximal des Etats-Unis.
La semaine passée avait été leur quatrième avancée d'affilée pour l'or noir, avec une flambée d'environ 2.5%, la plus importante en près de trois mois, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont laissé échapper 0.1% pour glisser à 111.88 USD du baril dans le même temps, soit 18.76 USD de mieux que leurs homologues américaines.