Investing.com - Les options sur le brut ont redressé la tête pour la première fois en trois jours ce mercredi, le moral se trouvant encouragé par l'annonce de nouveaux accomodements de la part de la Banque du Japon.
Les opérateurs gardaient aussi un oeil sur l'état crucial des stocks américains à l'approche de la publication d'une étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis à ce sujet.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 96.42 USD le baril en première partie de séance européenne, engrangeant 0.85%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.45 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec une poussée de 0.9%.
Un regain de goût pour les valeurs risquées a en effet suivi l'annonce en début de matinée par la banque centrale nippone de l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes jusqu'à un total de 80 billions de JPY, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
Il a ensuite été précisé dans son communiqué que cette dotation serait divisée à parts égales entre des acquisitions supplémentaires d'actifs de trésorerie à prix réduit et celles d'obligations nationales.
Elle a ainsi suivi le chemin tracé par la Réserve Fédérale avec son programme d'encouragement QE3 annoncé la semaine passée, mais surtout la Banque Centrale Européenne, qui a adopté en début de mois un plan de rachat d'obligations destiné à réduire les coûts des emprunts des membres du bloc euro nécessitant une bouée de sauvetage.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu de l'après-midi, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une augmentation d'un million de barils pour le brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, celle de l'essence se situant probablement à 1.2 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant une accumulation de 2.4 millions de barils pour la période considérée, alors qu'un ajout de seulement 200 000 d'entre eux était envisagé.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais l'atmosphère se trouvait encore assombrie par les incertitudes au sujet d'une possible demande d'aide financière supplémentaire de la part de l'Espagne.
La nervosité restait donc de mise, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles se déroulerait un plan de sauvetage.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0.7% pour grimper à 112.83 USD du baril dans le même temps, soit 16.41 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les acteurs du marché continuaient par ailleurs à surveiller la situation géopolitique du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord, suite à plusieurs attaques ayant touché la semaine dernière les embassades américaines dans la région.
Des violences ont ainsi eu lieu au sein de cette dernière, qui rassemble près de la moitié du pétrole restant à extraire, en réaction à la publication de la bande-annonce d'un film portant sur Mahomet.
Les opérateurs gardaient aussi un oeil sur l'état crucial des stocks américains à l'approche de la publication d'une étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis à ce sujet.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 96.42 USD le baril en première partie de séance européenne, engrangeant 0.85%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.45 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec une poussée de 0.9%.
Un regain de goût pour les valeurs risquées a en effet suivi l'annonce en début de matinée par la banque centrale nippone de l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes jusqu'à un total de 80 billions de JPY, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
Il a ensuite été précisé dans son communiqué que cette dotation serait divisée à parts égales entre des acquisitions supplémentaires d'actifs de trésorerie à prix réduit et celles d'obligations nationales.
Elle a ainsi suivi le chemin tracé par la Réserve Fédérale avec son programme d'encouragement QE3 annoncé la semaine passée, mais surtout la Banque Centrale Européenne, qui a adopté en début de mois un plan de rachat d'obligations destiné à réduire les coûts des emprunts des membres du bloc euro nécessitant une bouée de sauvetage.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu de l'après-midi, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une augmentation d'un million de barils pour le brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, celle de l'essence se situant probablement à 1.2 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant une accumulation de 2.4 millions de barils pour la période considérée, alors qu'un ajout de seulement 200 000 d'entre eux était envisagé.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais l'atmosphère se trouvait encore assombrie par les incertitudes au sujet d'une possible demande d'aide financière supplémentaire de la part de l'Espagne.
La nervosité restait donc de mise, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles se déroulerait un plan de sauvetage.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0.7% pour grimper à 112.83 USD du baril dans le même temps, soit 16.41 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les acteurs du marché continuaient par ailleurs à surveiller la situation géopolitique du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord, suite à plusieurs attaques ayant touché la semaine dernière les embassades américaines dans la région.
Des violences ont ainsi eu lieu au sein de cette dernière, qui rassemble près de la moitié du pétrole restant à extraire, en réaction à la publication de la bande-annonce d'un film portant sur Mahomet.