Investing.com - Les options sur le brut ont regagné des couleurs ce mardi, bénéficiant du retour des investisseurs, désireux de bénéficier de conditions avantageuses, découlant leur passage hier à leur plus bas niveau hebdomadaire.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.41 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.45 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.3% de fléchissement.
La journée de lundi les avait vus dégringoler de 1.6%, pour se retrouver à 95.91 USD, leur plus faible valeur en une semaine, sur fond de retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome.
Le taux appliqué aux obligations décennales émises par Madrid est du coup remonté ce matin à 5.5%, et celles de Rome grimpaient de leur côté de 4.54%.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin.
Le doute augmentait d'autre part concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages, tandis que la santé du système bancaire national se trouvait remise en question.
Cette ambiance frileuse poussait les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.1% de son côté pour se situer à 79.68.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également été tirés vers le bas par le ministre des affaires étrangères iranien Ali Akbar Salehi, déclarant hier que Téhéran serait disposée à participer à des négociations bilatérales au sujet de son programme nucléaire, du moment qu'elles se dérouleraient avec des "interlocuteurs sincères".
Il répondait ainsi à un nouvel appel au dialogue émanant des Etats-Unis, lequel était encadré par les cinq membres permanents du conseil de sécurité des Nations Unies.
Il a ajouté que la prochaine rencontre aurait lieu le 25 février au Kazakhstan.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars n'ont guère dévié des 115.57 USD du baril dans le même temps, avec 19.16 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.41 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.45 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.3% de fléchissement.
La journée de lundi les avait vus dégringoler de 1.6%, pour se retrouver à 95.91 USD, leur plus faible valeur en une semaine, sur fond de retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome.
Le taux appliqué aux obligations décennales émises par Madrid est du coup remonté ce matin à 5.5%, et celles de Rome grimpaient de leur côté de 4.54%.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin.
Le doute augmentait d'autre part concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages, tandis que la santé du système bancaire national se trouvait remise en question.
Cette ambiance frileuse poussait les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.1% de son côté pour se situer à 79.68.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également été tirés vers le bas par le ministre des affaires étrangères iranien Ali Akbar Salehi, déclarant hier que Téhéran serait disposée à participer à des négociations bilatérales au sujet de son programme nucléaire, du moment qu'elles se dérouleraient avec des "interlocuteurs sincères".
Il répondait ainsi à un nouvel appel au dialogue émanant des Etats-Unis, lequel était encadré par les cinq membres permanents du conseil de sécurité des Nations Unies.
Il a ajouté que la prochaine rencontre aurait lieu le 25 février au Kazakhstan.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars n'ont guère dévié des 115.57 USD du baril dans le même temps, avec 19.16 USD de mieux que leurs homologues américaines.