Investing.com - Les options sur le brut ont prolongé ce mardi leur forte plongée d'hier, sombrant dans un creux des 11 derniers mois alors que la demande future se faisait incertaine en raison des incertitudes concernant la relance mondiale, tandis que la frilosité générale poussait les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 78.45 USD le baril en début de séance européenne, s'effondrant de 3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 75.72 USD, leur cours le plus bas depuis le 29 septembre 2010, avec 5% de fléchissement.
Leur dégringolade avait déjà avoisiné 6.5% lundi, les places boursières se trouvant ébranlées par la dégradation de l'appréciation de la dette américaine par l'agence Standard & Poor's.
L'annonce par la BCE d'achat de bons espagnols et italiens n'a quand à elle pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Ces problèmes ont acquis une dimension mondiale après qu'une étude du bureau national des statistiques de Chine ait montré que les prix au détail avaient subi une augmentation de 6.% après ajustement saisonnier pour juillet, la plus forte des trois dernières années.
Ce taux supérieur aux attentes a étouffé l'espoir d'un assouplissement imminent de la politique monétaire de la seconde économie au monde.
Les investisseurs mondiaux sont restés sur les dents après que l'indice Dow Jones ait connu hier sa sixième plus forte dégringolade de l'histoire, et que les actifs asiatiques et européens aient sombré vertigineusement sur fond d'incertitudes concernant les perspectives économiques mondiales.
Ils restaient également dans l'attente de nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin d'évaluer les besoins du premier demandeur mondial.
L'institut du pétrole américain doit en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines, tandis que celui établi par les autorités divulgué mercredi pourrait montrer une augmentation de 1.5 millions de barils du brut, tandis que celles d'essence pourraient en prendre 900 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont dérapé de 2.85% pour chuter à 101.25 USD du baril dans le même temps, soit 22.8 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 78.45 USD le baril en début de séance européenne, s'effondrant de 3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 75.72 USD, leur cours le plus bas depuis le 29 septembre 2010, avec 5% de fléchissement.
Leur dégringolade avait déjà avoisiné 6.5% lundi, les places boursières se trouvant ébranlées par la dégradation de l'appréciation de la dette américaine par l'agence Standard & Poor's.
L'annonce par la BCE d'achat de bons espagnols et italiens n'a quand à elle pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Ces problèmes ont acquis une dimension mondiale après qu'une étude du bureau national des statistiques de Chine ait montré que les prix au détail avaient subi une augmentation de 6.% après ajustement saisonnier pour juillet, la plus forte des trois dernières années.
Ce taux supérieur aux attentes a étouffé l'espoir d'un assouplissement imminent de la politique monétaire de la seconde économie au monde.
Les investisseurs mondiaux sont restés sur les dents après que l'indice Dow Jones ait connu hier sa sixième plus forte dégringolade de l'histoire, et que les actifs asiatiques et européens aient sombré vertigineusement sur fond d'incertitudes concernant les perspectives économiques mondiales.
Ils restaient également dans l'attente de nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin d'évaluer les besoins du premier demandeur mondial.
L'institut du pétrole américain doit en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines, tandis que celui établi par les autorités divulgué mercredi pourrait montrer une augmentation de 1.5 millions de barils du brut, tandis que celles d'essence pourraient en prendre 900 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont dérapé de 2.85% pour chuter à 101.25 USD du baril dans le même temps, soit 22.8 USD de mieux que leurs homologues américaines.