Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la seconde journée d'affilée ce mardi, aprèsla publication d'informations montrant la plus faible croissance chinoise en deux ans, les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro continuant à freiner les investisssements risqués.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 86.14 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.77 USD, leur cours le plus faible depuis le 14 octobre, avec un recul de 0.95%.
Une étude officielle avait en effet ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% pour rapport à l'année dernière, contre 9.5% pour le précédent, et au lieu des 9.2% espérés.
Cette performance se trouve être la plus piètre depuis le second trimestre 2009, alimentant l'angoisse concernant la santé de la seconde économie mondiale.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable d'environ 40% de la hausse de la demande globale en 2012.
Les cours ont subi une pression supplémentaire, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
l'agence Moody's Investor Services a par ailleurs émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
Ces nouvelles ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, notamment les actions et les matières premières, et à s'en tenir aux valeurs sûres comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de ses six de ses principaux concurrents, a grignoté 0.2% pour se hisser à 77.69.
Les prix de l'or noir diminuent généralement quand celui-ci remonte, rendant les matières premières libellées avec plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont régressé de 0.64% vers 109.45 USD du baril dans le même temps.
Leur écart avec leurs homologues américaines s'est rétréci jusqu'à 23.31 USD le baril, retombant de leur record à 28.1 USD datant de vendredi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 86.14 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.77 USD, leur cours le plus faible depuis le 14 octobre, avec un recul de 0.95%.
Une étude officielle avait en effet ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% pour rapport à l'année dernière, contre 9.5% pour le précédent, et au lieu des 9.2% espérés.
Cette performance se trouve être la plus piètre depuis le second trimestre 2009, alimentant l'angoisse concernant la santé de la seconde économie mondiale.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable d'environ 40% de la hausse de la demande globale en 2012.
Les cours ont subi une pression supplémentaire, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
l'agence Moody's Investor Services a par ailleurs émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
Ces nouvelles ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, notamment les actions et les matières premières, et à s'en tenir aux valeurs sûres comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de ses six de ses principaux concurrents, a grignoté 0.2% pour se hisser à 77.69.
Les prix de l'or noir diminuent généralement quand celui-ci remonte, rendant les matières premières libellées avec plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont régressé de 0.64% vers 109.45 USD du baril dans le même temps.
Leur écart avec leurs homologues américaines s'est rétréci jusqu'à 23.31 USD le baril, retombant de leur record à 28.1 USD datant de vendredi.