Investing.com - Les options sur le brut étaient à la en progrès ce lundi, l'angoisse d'une perturbation des livraisons de l'Iran les soutenant alors que les observateurs guettaient la rencontre entre Angela Merkel, et le président de la France devant avoir lieu dans la journée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.81 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient auparavant culminé à 102.14 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.4% d'ascension.
Les acteurs du secteur surveillaient toujours les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, après que l'agence de presse d'état iranienne Fars air fait savoir ce dimanche que le corps des gardes révolutionnaires du pays procèderait le mois prochain à des manoeuvres dans le Golfe Persique et le Détroit d'Ormuz.
Cette région, par laquelle transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les plus cruciales du monde, située entre le sultanat d'Oman et l'Iran.
L'AIE a éffirmé vendredi qu'elle pourrait mettre sur le marché jusqu'à 14 millinos de barils quotidiens stockés par les gouvernements des Etats-Unis, d'Europe, du Japon et d'autres importateurs, un rythme qui pourrait être tenu un mois.
Morgan Stanley, une des banques les plus en vue de Wall Street, a estimé qu'une telle action aurait des chances de limiter l'impact d'un éventuel blocus de ce goulet d'étrangelement.
Elle a précisé dans son rapport: "Si son impact devait se limiter à 10 millions de barils par jour pendant trois semaines, soit un total de 210 millions, le trou constitué pourrait facilement être comblé par une mise sur le marché des réserves stratégiques de brut jusqu'à la réouverture du trafic."
Les investisseurs attendaient avec impatience la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue aujourd'hui afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale en zone euro.
Toute velléité de flambée demeurant cependant jugulée, le qui-vive régnant en maître, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu dans la semaine.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont engeangé 0.43% pour grimper à 113.55 USD du baril dans le même temps, soit 11.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.81 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.25%.
Ils avaient auparavant culminé à 102.14 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.4% d'ascension.
Les acteurs du secteur surveillaient toujours les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, après que l'agence de presse d'état iranienne Fars air fait savoir ce dimanche que le corps des gardes révolutionnaires du pays procèderait le mois prochain à des manoeuvres dans le Golfe Persique et le Détroit d'Ormuz.
Cette région, par laquelle transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les plus cruciales du monde, située entre le sultanat d'Oman et l'Iran.
L'AIE a éffirmé vendredi qu'elle pourrait mettre sur le marché jusqu'à 14 millinos de barils quotidiens stockés par les gouvernements des Etats-Unis, d'Europe, du Japon et d'autres importateurs, un rythme qui pourrait être tenu un mois.
Morgan Stanley, une des banques les plus en vue de Wall Street, a estimé qu'une telle action aurait des chances de limiter l'impact d'un éventuel blocus de ce goulet d'étrangelement.
Elle a précisé dans son rapport: "Si son impact devait se limiter à 10 millions de barils par jour pendant trois semaines, soit un total de 210 millions, le trou constitué pourrait facilement être comblé par une mise sur le marché des réserves stratégiques de brut jusqu'à la réouverture du trafic."
Les investisseurs attendaient avec impatience la rencontre entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français prévue aujourd'hui afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale en zone euro.
Toute velléité de flambée demeurant cependant jugulée, le qui-vive régnant en maître, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu dans la semaine.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont engeangé 0.43% pour grimper à 113.55 USD du baril dans le même temps, soit 11.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.