Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la cinquième journée consécutive ce jeudi, se rapprochant de leur creux des cinq dernières semaines, les prévisions de demande se trouvant mises à mal par les incertitudes concernant la relance du premier demandeur au monde.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 91.74 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.52 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.48% de fléchissement, avoisinant le creux des cinq semaines écoulées d'hier à 91.21 USD.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié ce jour-là que les réserves nationales de d'or noir avaient connu une augmentation d'un million de barils la semaine dernière, la seconde consécutive.
Il était aussi indiqué que le stock d'essence automobile avait pris 1.7 millions de barils, soit nettement plus que les 500 000 attendus, et leur plus forte progression depuis début avril.
La compagnie MasterCard a précisé mercredi que les besoins des Etats-Unis en essence au détail avaient plongé de 3.1% au cours de la semaine achevée le 29 juillet, l'augmentation des prix depuis le début du mois y ayant mis un frein.
Les négociants en produits énergétiques les observent toujours de près afin de juger de l'importance de la demande américaine, le pays ayant entamé avec les départs en vacances sa saison de plus forte demande en essence.
Il avait également été montré que l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis avait diminué en juillet sans crier gare, tombant à son plus bas niveau depuis février 2010, tandis que les commandes nouvellement passées auprès des usines déclinaient au mois précédent.
Ces informations faisaient suite à des résultats décevants concernant les dépenses de consommation et l'activité manufacturière du pays signalés en cours de semaine, ranimant le spectre planant sur la relance de l'économie nationale.
Le large renforcement du de la monnaie américaine a également pesé sur les prix du pétrole, après que la Banque du Japon soit intervenue sur le marché des changes afin de juguler l'envolée du yen. L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.98% de son côté pour se situer à 74.92, sa meilleure position des deux dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont trébuché de 0.15% pour descendre à 113.11 USD du baril dans le même temps, soit 21.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 91.74 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.52 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.48% de fléchissement, avoisinant le creux des cinq semaines écoulées d'hier à 91.21 USD.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié ce jour-là que les réserves nationales de d'or noir avaient connu une augmentation d'un million de barils la semaine dernière, la seconde consécutive.
Il était aussi indiqué que le stock d'essence automobile avait pris 1.7 millions de barils, soit nettement plus que les 500 000 attendus, et leur plus forte progression depuis début avril.
La compagnie MasterCard a précisé mercredi que les besoins des Etats-Unis en essence au détail avaient plongé de 3.1% au cours de la semaine achevée le 29 juillet, l'augmentation des prix depuis le début du mois y ayant mis un frein.
Les négociants en produits énergétiques les observent toujours de près afin de juger de l'importance de la demande américaine, le pays ayant entamé avec les départs en vacances sa saison de plus forte demande en essence.
Il avait également été montré que l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis avait diminué en juillet sans crier gare, tombant à son plus bas niveau depuis février 2010, tandis que les commandes nouvellement passées auprès des usines déclinaient au mois précédent.
Ces informations faisaient suite à des résultats décevants concernant les dépenses de consommation et l'activité manufacturière du pays signalés en cours de semaine, ranimant le spectre planant sur la relance de l'économie nationale.
Le large renforcement du de la monnaie américaine a également pesé sur les prix du pétrole, après que la Banque du Japon soit intervenue sur le marché des changes afin de juguler l'envolée du yen. L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.98% de son côté pour se situer à 74.92, sa meilleure position des deux dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont trébuché de 0.15% pour descendre à 113.11 USD du baril dans le même temps, soit 21.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.