Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne ce mardi, retombant de leur pic des sept derniers jours datant d'hier, la peur d'une perte de vitesse de la relance économique mondiale pesant sur les perspectives de demande.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 87.08 USD le baril en début de séance européenne, dérapant de 0.69%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 86.82 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.9% de fléchissement.
Les informations préliminaires dévoilées ce matin montraient une augmentation de 0.1% après ajustement saisonnier du produit intérieur brut germanique du second trimestre, soit nettement moins que les 0.5% attendus.
Une autre étude mentionnait pour sa part une progression de 0.2% ajustés du PIB de la zone euro sur la même période, une contre-performance nette par rapport aux 0.8% précédents, mais aussi par rapport aux 0.3% espérés.
Ces résultats peu encourageants surviennent après que la réserve fédérale de New York ait déclaré lundi que son indice manufacturier de la région de New York avait chuté de 3.9 points vers -7.7 en août, régressant pour le troisième mois d'affilée.
Les négociants en produits énergétiques l'observent toujours de près afin de juger comment évoluera la demande future.
Ils restaient également dans l'attente de nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin d'évaluer les besoins du premier demandeur mondial.
L'institut du pétrole américain doit en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines, tandis que celui établi par les autorités divulgué mercredi pourrait montrer une diminution de 700 000 barils de brut, tandis que celles d'essence pourraient en perdre 2 millions.
Le renforcement de la monnaie des Etats-Unis a également pesé sur les cours, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnant 0.28% de son côté pour se situer à 74.14.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont laissé échapper 1.05% pour sombrer à 108.67 USD du baril dans le même temps, soit 21.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 87.08 USD le baril en début de séance européenne, dérapant de 0.69%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 86.82 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.9% de fléchissement.
Les informations préliminaires dévoilées ce matin montraient une augmentation de 0.1% après ajustement saisonnier du produit intérieur brut germanique du second trimestre, soit nettement moins que les 0.5% attendus.
Une autre étude mentionnait pour sa part une progression de 0.2% ajustés du PIB de la zone euro sur la même période, une contre-performance nette par rapport aux 0.8% précédents, mais aussi par rapport aux 0.3% espérés.
Ces résultats peu encourageants surviennent après que la réserve fédérale de New York ait déclaré lundi que son indice manufacturier de la région de New York avait chuté de 3.9 points vers -7.7 en août, régressant pour le troisième mois d'affilée.
Les négociants en produits énergétiques l'observent toujours de près afin de juger comment évoluera la demande future.
Ils restaient également dans l'attente de nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin d'évaluer les besoins du premier demandeur mondial.
L'institut du pétrole américain doit en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines, tandis que celui établi par les autorités divulgué mercredi pourrait montrer une diminution de 700 000 barils de brut, tandis que celles d'essence pourraient en perdre 2 millions.
Le renforcement de la monnaie des Etats-Unis a également pesé sur les cours, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnant 0.28% de son côté pour se situer à 74.14.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont laissé échapper 1.05% pour sombrer à 108.67 USD du baril dans le même temps, soit 21.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.