Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse ce jeudi, rebondissant de leur creux des sept derniers jours de cotation après que le net recul d'hier ait créé des occasions d'achat à bon prix pour les investisseurs, tandis que la crainte d'une perturbation dess fournitures et l'affaiblissement du dollar U.S. contribuaient à leur remontée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.72 USD le baril en début de séance européenne, glissant de 0.55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.53 USD, leur cours le plus bas depuis le 19 juillet, avec 0.65% de fléchissement.
L'impasse des négociations visant à relever la limite de la dette des Etats-Unis et les résultats gouvernementaux montrant une hausse inattendue des réserves au cours de la semaine dernière ont contribué hier à les faire plonger de près de 1.9%.
Ce net faux pas a du coup déclenché des achats d'opportunité de la part d'acteurs des marchés peu enclins à parier sur une poursuite de la descente, alors qu'une tempête approchait du Golfe du Mexique, menaçant les voies d'approvisionnement.
Le centre national d'étude des ouragans a en effet signalé hier que la tempête tropicale Don, quatrième de cette saison des ouragans, et la première de forte puissance dans la région, se dirigeait vers la côte du Texas.
Les mastodontes Royal Dutch Shell et Anadarko Petroleum ont annoncé qu'ils évacuaient leur personnel, notamment celui de leurs installations de l'ouest du Golfe, tandis que BHP Billiton et British Petroleum faisaient de même avec celui de leurs plateformes du centre de la zone.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Le fléchissement de la monnaie américaine a également contribué à la hausse des cours, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, ayant glissé de 0.27% de son côté pour se situer à 74.08.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.65% pour grimper à 118.11 USD du baril dans le même temps, soit 20.39 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.72 USD le baril en début de séance européenne, glissant de 0.55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.53 USD, leur cours le plus bas depuis le 19 juillet, avec 0.65% de fléchissement.
L'impasse des négociations visant à relever la limite de la dette des Etats-Unis et les résultats gouvernementaux montrant une hausse inattendue des réserves au cours de la semaine dernière ont contribué hier à les faire plonger de près de 1.9%.
Ce net faux pas a du coup déclenché des achats d'opportunité de la part d'acteurs des marchés peu enclins à parier sur une poursuite de la descente, alors qu'une tempête approchait du Golfe du Mexique, menaçant les voies d'approvisionnement.
Le centre national d'étude des ouragans a en effet signalé hier que la tempête tropicale Don, quatrième de cette saison des ouragans, et la première de forte puissance dans la région, se dirigeait vers la côte du Texas.
Les mastodontes Royal Dutch Shell et Anadarko Petroleum ont annoncé qu'ils évacuaient leur personnel, notamment celui de leurs installations de l'ouest du Golfe, tandis que BHP Billiton et British Petroleum faisaient de même avec celui de leurs plateformes du centre de la zone.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Le fléchissement de la monnaie américaine a également contribué à la hausse des cours, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, ayant glissé de 0.27% de son côté pour se situer à 74.08.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.65% pour grimper à 118.11 USD du baril dans le même temps, soit 20.39 USD de mieux que leurs homologues américaines.