Investing.com - Les options sur le brut se sont hissées ce mardi matin au plus haut niveau depuis la mi-septembre, les valeurs dépendantes de la croissance gardant la forme grâce aux signes d'une accélération de la relance américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.73 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.3%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.95 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 septembre, avec une poussée de 0.45%.
L'optimisme grandissant concernant la santé de l'économie mondiale leur avait redonné des couleurs, après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables des Etats-Unis avaient davantage augmenté en décembre qu'espéré, bondissant de 4.6% au lieu des 1.8% envisagés.
Les yeux restaient tournés vers la prise de cap de la Réserve Fédérale, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
Les conclusions conseil de direction de la Réserve Fédérale de demain seront aussi au centre des débats, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont laissé échapper 0.05% pour glisser à 113.43 USD du baril dans le même temps, soit 16.7 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions géopolitiques entre la Libye et l'Algérie les avait encouragés, en raison de la crainte d'une attaque terroriste venue de la seconde sur les installations pétrolières de la première, qui y a du coup renforcé les mesures de sécurité aux alentours de ses frontière avec elle, mais aussi avec la Tunisie et le Niger.
Elle abrite en effet les plus importantes réserves d'Afrique, tandis que l'Algérie et le Niger sont des pourvoyeurs importants de brut de haute qualité.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.73 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.3%.
Ils avaient auparavant culminé à 96.95 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 septembre, avec une poussée de 0.45%.
L'optimisme grandissant concernant la santé de l'économie mondiale leur avait redonné des couleurs, après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables des Etats-Unis avaient davantage augmenté en décembre qu'espéré, bondissant de 4.6% au lieu des 1.8% envisagés.
Les yeux restaient tournés vers la prise de cap de la Réserve Fédérale, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
Les conclusions conseil de direction de la Réserve Fédérale de demain seront aussi au centre des débats, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont laissé échapper 0.05% pour glisser à 113.43 USD du baril dans le même temps, soit 16.7 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions géopolitiques entre la Libye et l'Algérie les avait encouragés, en raison de la crainte d'une attaque terroriste venue de la seconde sur les installations pétrolières de la première, qui y a du coup renforcé les mesures de sécurité aux alentours de ses frontière avec elle, mais aussi avec la Tunisie et le Niger.
Elle abrite en effet les plus importantes réserves d'Afrique, tandis que l'Algérie et le Niger sont des pourvoyeurs importants de brut de haute qualité.