Investing.com - Les options sur l'or restaient à la peine ce lundi matin, voyant s'aggraver leurs pertes de vendredi, alors que les observateurs revoyaient leurs estimations de la durée des aides de la banque centrale des Etats-Unis.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.327,10 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.313,60 USD, leur pire cours depuis le 18 septembre, avec un passage à vide de 1,4%, alors que la session précédente les avait déjà vus conclure à 1.332,50 USD, en repli de 2,7%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.375,10 USD, leur plafond du lendemain.
Leur descente aux enfers a en effet débuté vendredi, après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que l'option de l'immobilisme avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu qu'un léger resserrage de boulons ait lieu en octobre.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les prix semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais consécutif à une économie en voie de rémission.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,85% pour glisser à 21,74 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,95% pour se retrouver à 3,289 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières demeuraient boudées malgré les performances des usines chinoises.
Il a en effet été montré à l'aube que la première évaluation de l'indice manufacturier de la Chine établi par la banque HSBC s'était élevée depuis 50,1 vers 51,2 en septembre.
Elle se maintenait du coup au-dessus des 50,0 points dénotant sa croissance pour le second mois d'affilée.
Les opérateurs surveillent ces résultats de près, en raison de l'appétit des industries du pays.
Celui-ci garde sa première part des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.327,10 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.313,60 USD, leur pire cours depuis le 18 septembre, avec un passage à vide de 1,4%, alors que la session précédente les avait déjà vus conclure à 1.332,50 USD, en repli de 2,7%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.375,10 USD, leur plafond du lendemain.
Leur descente aux enfers a en effet débuté vendredi, après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que l'option de l'immobilisme avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu qu'un léger resserrage de boulons ait lieu en octobre.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les prix semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais consécutif à une économie en voie de rémission.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,85% pour glisser à 21,74 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,95% pour se retrouver à 3,289 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières demeuraient boudées malgré les performances des usines chinoises.
Il a en effet été montré à l'aube que la première évaluation de l'indice manufacturier de la Chine établi par la banque HSBC s'était élevée depuis 50,1 vers 51,2 en septembre.
Elle se maintenait du coup au-dessus des 50,0 points dénotant sa croissance pour le second mois d'affilée.
Les opérateurs surveillent ces résultats de près, en raison de l'appétit des industries du pays.
Celui-ci garde sa première part des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.