Investing.com - Les options sur l'or restaient dangereusement proches d'une ornière bihebdomadaire ce lundi matin, les opérateurs hésitant à placer leurs billes en raison de perspectives techniques affaiblies.
L'apaisement des angoisses concernant l'économie mondiale a aussi contribué à cette tendance.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 660.35 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 659.45 USD, leur pire cours journalier, et 1 663.65 USD, leur meilleur, après avoir touché le fond le 25 janvier à 1 655.15 USD, leur plus basse valeur en deux semaines.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 685.35 USD, leur plafond du 24 décembre.
Ce frémissement restait limité alors que les ventes tehniques se poursuivaient après qu'un seuil de résistance psychologique crucial n'ait pu être franchi.
Celles-ci ont en effet pris de l'ampleur après qu'ils aient échoué ces jours derniers au pied des 1 700 USD, déclenchant des ventes automatiques, sur fond de signaux graphiques baissiers.
Ils ont ainsi culminé à 1 696.25 USD le 17 janvier, le souffle ayant manqué pour poursuivre l'ascension.
La semaine passée les aura vus dégringoler de 1.5%, subissant leur pire revers hebdomadaire depuis la fin décembre, leur attrait en tant que valeur sûre fondant au regard de l'espoir d'un apaisement de l'ébullition générale.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les cours s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la banque centrale des Etats-Unis ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Mais ils ont retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait précisé qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, n'évoquant pas l'idée d'un changement de cap.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 0.15% pour grimper à 31.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.1% pour se retrouver à 3.65 USD la livre dans le même temps.
L'apaisement des angoisses concernant l'économie mondiale a aussi contribué à cette tendance.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 660.35 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 659.45 USD, leur pire cours journalier, et 1 663.65 USD, leur meilleur, après avoir touché le fond le 25 janvier à 1 655.15 USD, leur plus basse valeur en deux semaines.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 685.35 USD, leur plafond du 24 décembre.
Ce frémissement restait limité alors que les ventes tehniques se poursuivaient après qu'un seuil de résistance psychologique crucial n'ait pu être franchi.
Celles-ci ont en effet pris de l'ampleur après qu'ils aient échoué ces jours derniers au pied des 1 700 USD, déclenchant des ventes automatiques, sur fond de signaux graphiques baissiers.
Ils ont ainsi culminé à 1 696.25 USD le 17 janvier, le souffle ayant manqué pour poursuivre l'ascension.
La semaine passée les aura vus dégringoler de 1.5%, subissant leur pire revers hebdomadaire depuis la fin décembre, leur attrait en tant que valeur sûre fondant au regard de l'espoir d'un apaisement de l'ébullition générale.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les cours s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la banque centrale des Etats-Unis ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Mais ils ont retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait précisé qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, n'évoquant pas l'idée d'un changement de cap.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 0.15% pour grimper à 31.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.1% pour se retrouver à 3.65 USD la livre dans le même temps.