Investing.com - Les options sur l'or étaient sans direction claire ce mardi matin, demeurant proche de son pic de six semaines établi la veille après que les membres de l'Eurogroupe aient négocié le déblocage des prochains fonds de secours destinés à la Grèce.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 752.75 USD de l'once en première partie de séance européenne, n'évoluant guère.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 750.95 USD, leur pire cours journalier, et 1 754.15 USD, leur meilleur, après avoir atteint hier 1 754.65 USD, leur plus forte valeur des six semaines écoulées.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 720.25 USD, leur plancher du 21 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 774.95 USD, leur plafond du 12 octobre.
Les ministres des finances du bloc euro, la Banque Centrale Européenne et le Fonds Monétaire International ont en effet trouvvé à Bruxelles un terrain d'entente lors d'une réunion achevée à l'aube, revoyant les objectifs de réduction de la dette hellène à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Ils ont aussi réduit les taux des prêts de secours, suspendu les paiements d'intérêts pour dix ans, donné davantage de temps au pays pour rembourser et lancer un processus de rachat de ses obligations, se préparant à lui octroyer une bouée de sauvetage de 34.4 milliards d'euros en décembre.
Athènes devrait ainsi recevoir un prêt crucial de 34.4 milliards d'euros le mois prochain, apaisant du coup l'angoisse d'un défaut de paiement et d'une sortie du bloc euro.
Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, a déclaré que les représentants de ce dernier donneraient leur approbation formelle à l'attribution de ces capitaux de secours le 13 décembre.
Les opérateurs demeuraient cependant prudents, estimant que cette avancée ne résolvait pas fondamentalement la crise de la dette européenne.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires républicains ont réclamé hier au président Barack Obama des détails sur les coupes budgétaires à long terme devant aider à lutter contre les déficits, tout en demeurant arc-boutés contre l'augmentation des impôts sur les revenus des plus riches réclamée par leurs adversaires démocrates.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0.1% pour glisser à 34.2 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.2% pour se retrouver à 3.555 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 752.75 USD de l'once en première partie de séance européenne, n'évoluant guère.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 750.95 USD, leur pire cours journalier, et 1 754.15 USD, leur meilleur, après avoir atteint hier 1 754.65 USD, leur plus forte valeur des six semaines écoulées.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 720.25 USD, leur plancher du 21 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 774.95 USD, leur plafond du 12 octobre.
Les ministres des finances du bloc euro, la Banque Centrale Européenne et le Fonds Monétaire International ont en effet trouvvé à Bruxelles un terrain d'entente lors d'une réunion achevée à l'aube, revoyant les objectifs de réduction de la dette hellène à la baisse de 40 milliards d'euros, afin qu'elle ne représente plus que 124% du produit intérieur brut national d'ici 2020.
Ils ont aussi réduit les taux des prêts de secours, suspendu les paiements d'intérêts pour dix ans, donné davantage de temps au pays pour rembourser et lancer un processus de rachat de ses obligations, se préparant à lui octroyer une bouée de sauvetage de 34.4 milliards d'euros en décembre.
Athènes devrait ainsi recevoir un prêt crucial de 34.4 milliards d'euros le mois prochain, apaisant du coup l'angoisse d'un défaut de paiement et d'une sortie du bloc euro.
Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, a déclaré que les représentants de ce dernier donneraient leur approbation formelle à l'attribution de ces capitaux de secours le 13 décembre.
Les opérateurs demeuraient cependant prudents, estimant que cette avancée ne résolvait pas fondamentalement la crise de la dette européenne.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires républicains ont réclamé hier au président Barack Obama des détails sur les coupes budgétaires à long terme devant aider à lutter contre les déficits, tout en demeurant arc-boutés contre l'augmentation des impôts sur les revenus des plus riches réclamée par leurs adversaires démocrates.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0.1% pour glisser à 34.2 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.2% pour se retrouver à 3.555 USD la livre dans le même temps.