Investing.com - Les options sur l'or n'ont pas flanché ce mercredi matin, s'accrochant à leur sommet mensuel à l'approche du vote concernant le relèvement du plafond de la dette américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 691.05 USD de l'once en début de séance européenne, limitant les dégâts à 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 690.95 USD, leur pire cours journalier, et 1 694.05 USD, leur meilleur, après avoir culminé le 17 janvier à 1 696.25 USD, leur plus haute valeur mensuelle.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 704.35 USD, leur plafond du 18 décembre.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 billions d'USD de l'endettement maximal du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement national de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers.
Il fallait noter du côté technique que la résistance psychologique restait forte à 1 700 USD, certains analystes estimant qu'au cas où cete barra ne serait pas dépassée, une retombée vers 1 650 USD serait à redouter.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.15% pour glisser à 32.13 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.15% pour se retrouver à 3.699 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 691.05 USD de l'once en début de séance européenne, limitant les dégâts à 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 690.95 USD, leur pire cours journalier, et 1 694.05 USD, leur meilleur, après avoir culminé le 17 janvier à 1 696.25 USD, leur plus haute valeur mensuelle.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 704.35 USD, leur plafond du 18 décembre.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 billions d'USD de l'endettement maximal du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement national de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers.
Il fallait noter du côté technique que la résistance psychologique restait forte à 1 700 USD, certains analystes estimant qu'au cas où cete barra ne serait pas dépassée, une retombée vers 1 650 USD serait à redouter.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.15% pour glisser à 32.13 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.15% pour se retrouver à 3.699 USD la livre dans le même temps.